Sefer Hamitsvot

Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.

1 Nissan 5783 / 03.23.2023

Cours N° 309

Mitsva positive N° 246 :
C'est le commandement nous incombant au sujet des plaignants et des lésés, selon le verset: "Quelque soit l'objet du délit... qu'on affirme être le sien". La Mekhilta dit à ce sujet: "Qu'on affirme être le sien: [cela nous enseigne que le défenseur ne pourra prêter serment] jusqu'à ce qu'il reconnaisse une partie [de la prétention]".
Cette loi s'applique à tous les cas de litiges se présentant entre des personnes, lorsqu'il y a simultanément aveu et dénégation [partiels].
Les lois relatives à ce commandement ont été expliquées dans le chapitre 3 de Baba Kama, au début et dans le chapitre 8 de Baba Metsia, ainsi que dans les chapitres 5, 6 et 7 de Chevou'oth. Plusieurs questions [relatives à ce sujet] se trouvent en outre éparpillées dans de nombreux passages du Talmud.

Mitsva positive N° 248 :
C'est le commandement nous incombant au sujet des règles d'héritage, selon le verset: "Si un homme meurt sans laisser de fils..."
Il ne fait aucun doute que l'une des dispositions de cette loi consiste en ce que l'aîné des fils hérite d'une double part, ce qui constitue une des lois relatives à l'héritage.
Les détails relatifs à ce commandement sont expliqués dans les chapitres 8 et 9 de Baba Bathra.