Lettre n° 985
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5711,
Brooklyn, New York,
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Pessa’h qui approche, je voudrais vous souhaiter une fête cachère et joyeuse, ainsi qu’à tous les membres de votre famille(1). Vous aurez le mérite d’exercer une influence positive sur tout votre entourage, qui s’élèvera ainsi dans la sainteté, sur le chemin conduisant vers le Sanctuaire de D.ieu.
Bien plus, c’est à Pessa’h que notre peuple put acquérir la statut d’Israël(2). Chaque année, lorsque surviennent les différentes fêtes, leur contenu apparaît de nouveau à l’évidence. Ainsi, Pessa’h, temps de notre liberté, délivre non seulement de la servitude physique, mais aussi du mauvais penchant.
La leçon de morale qu’enseigne ce jour est la suivante. Il faut multiplier ses efforts, dans tous ces domaines. C’est pour cela que la Matsa est appelé “ aliment de la guérison ”, selon le Zohar, tome 2, page 183b. Celle-ci raffermit la foi, comme l’établit également le Zohar, tome 2, page 41a.
Vous trouverez ci-joint le fascicule édité à l’occasion de Pessa’h, qui, à n’en pas douter, vous intéressera.
Evoquant la consommation de la Matsa, j’ai reproduit, dans mon avant propos, le fait qu’à Pessa’h le corps est physiquement nourri par un aliment qui raffermit la foi en D.ieu. De fait, le sacrifice de Pessa’h se distingue de tous les autres par le fait que sa destination essentielle est la consommation(3) de ses propriétaires et non celle de l’autel ou des Cohanim.
Avec ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse,
M. Schneerson,
Notes
(1) Cette lettre a été adressée à plusieurs personnes.
(2) C’est de cette événement que sont déduites les lois de la conversion.
(3) Par ceux qui l’offrent et non par les Cohanim. De même, il n’est pas brûlé sur l’autel.
13 Nissan 5711,
Brooklyn, New York,
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Pessa’h qui approche, je voudrais vous souhaiter une fête cachère et joyeuse, ainsi qu’à tous les membres de votre famille(1). Vous aurez le mérite d’exercer une influence positive sur tout votre entourage, qui s’élèvera ainsi dans la sainteté, sur le chemin conduisant vers le Sanctuaire de D.ieu.
Bien plus, c’est à Pessa’h que notre peuple put acquérir la statut d’Israël(2). Chaque année, lorsque surviennent les différentes fêtes, leur contenu apparaît de nouveau à l’évidence. Ainsi, Pessa’h, temps de notre liberté, délivre non seulement de la servitude physique, mais aussi du mauvais penchant.
La leçon de morale qu’enseigne ce jour est la suivante. Il faut multiplier ses efforts, dans tous ces domaines. C’est pour cela que la Matsa est appelé “ aliment de la guérison ”, selon le Zohar, tome 2, page 183b. Celle-ci raffermit la foi, comme l’établit également le Zohar, tome 2, page 41a.
Vous trouverez ci-joint le fascicule édité à l’occasion de Pessa’h, qui, à n’en pas douter, vous intéressera.
Evoquant la consommation de la Matsa, j’ai reproduit, dans mon avant propos, le fait qu’à Pessa’h le corps est physiquement nourri par un aliment qui raffermit la foi en D.ieu. De fait, le sacrifice de Pessa’h se distingue de tous les autres par le fait que sa destination essentielle est la consommation(3) de ses propriétaires et non celle de l’autel ou des Cohanim.
Avec ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse,
M. Schneerson,
Notes
(1) Cette lettre a été adressée à plusieurs personnes.
(2) C’est de cette événement que sont déduites les lois de la conversion.
(3) Par ceux qui l’offrent et non par les Cohanim. De même, il n’est pas brûlé sur l’autel.