Lettre n° 9587

Par la grâce de D.ieu,


13 Mar ‘Hechvan 5729,
Brooklyn, New York,


Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, monsieur Aharon Bir(1),


Je vous salue et vous bénis,


Je viens de recevoir une demande de bénédiction rédigée qui a été pour vous-même et pour votre épouse. Je mentionnerai vos noms près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction du souhait de votre cœur, pour le bien et pour la bénédiction(2).


D’après ce que j’ai entendu, à votre propos, il est sûrement inutile de vous souligner qu’un ajout à ce qui concerne la Torah et les Mitsvot augmente la bénédiction de D.ieu, béni soit-Il, surtout quand on a besoin d’une bénédiction particulière. Or, pour ce qui a trait à la Torah et aux Mitsvot, un tel ajout est toujours possible, car elles n’ont pas de fin, dès lors qu’elles émanent du D.ieu infini, béni soit-Il. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela.


J’ai bon espoir que vous avez un temps fixé pour l’étude de la Torah chaque jour, à la fois de son enseignement révélé et de sa partie profonde, qui est la ‘Hassidout. Différents textes établissent la nécessité des deux à la fois. Notre ami, le distingué et agréable ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Moché Tsvi Ha Lévi Segal(1), vous a sûrement déjà parlé de tout cela. Avec mes respects et ma bénédiction,


M. Schneerson,


Notes


(1) Voir la lettre précédente.
(2) Peut-être pour avoir des enfants.