Lettre n° 9582

Par la grâce de D.ieu,


2 Mar ‘Hechvan 5729,
Brooklyn,


Je vous salue et vous bénis,


J’ai bien reçu votre lettre, dans laquelle vous sollicitez une bénédiction, du 13 Tichri. En un moment propice, celle-ci sera lue près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.


Vous m’écrivez que l’on vous propose un parti. Si l’un des deux(1), ou les deux à la fois décident de s’intéresser à cette proposition uniquement dans un an ou même encore après cela, il n’est absolument pas(2) judicieux d’astreindre, de lier ou même de limiter l’autre ou les parents, pour différentes raisons, c’est une évidence. Il faut faire comme si rien ne s’était passé.


Vous gardez sûrement les trois études qui concernent chacun. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Avec ma bénédiction,


Vous faites aussi allusion à la confiance en D.ieu(3). Il est clair que cette expression doit être interprétée selon son sens littéral, comme l’établissent différents textes(2) de la Loi écrite et de la Loi orale. Vous consulterez le ‘Hovat Ha Levavot, dans la porte de la confiance en D.ieu, les Biyoureï Ha Zohar de l’Admour Haémtsahi et ceux du Tséma’h Tsédek, qui viennent de paraître(4), au début de la Parchat Vaéra.


Notes


(1) Le jeune homme, destinataire de la présente ou bien la jeune fille.
(2) Le Rabbi souligne les expressions : “absolument pas” et “différents textes”.
(3) Voir le Likouteï Si’hot, tome 26, à la page 97 et tome 36, à partir de la page 3.
(4) Le Roch ‘Hodech Elloul 5728.