Lettre n° 9418

Par la grâce de D.ieu,


veille de ‘Hanouka 5728,
Brooklyn, New York,


Je vous salue et vous bénis,


J’ai bien reçu votre lettre du jeudi de la Parchat Vayetsé(1). Comme nous en avions parlé lors de votre visite ici, je suis persuadé que la décision relative à l’organisation des études de votre fils et à tout ce qui la concerne dépend de votre fils lui-même et de ce qu’il veut faire. Comme je vous l’avais alors dit, cela est non seulement pour son propre bien, mais aussi pour celui de tous ses proches. De fait, il a un âge auquel il n’aurait pas de sens de lui donner un ordre, en la matière.


D.ieu accorde sa divine Providence à chacun. Il vous bénira donc en tous vos besoins et surtout en ce qui est particulièrement important, la satisfaction véritable et juive que vous procure votre fils. Il le fera en des proportions sans cesse accrues, dans l’esprit des lumières de ‘Hanouka, puisque nous en allumons une de plus chaque jour(2). Avec mes respects et ma bénédiction,


Notes


(1) Cette lettre est rédigée en yiddish.
(2) Selon le traité Chabbat 21a. Voir le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, lois de ‘Hanouka, chapitre 671, au paragraphe 2.