Lettre n° 8946

Par la grâce de D.ieu,
24 Chevat 5725,
Brooklyn,

Je vous bénis et vous salue,

Je fais réponse à votre lettre du 4 Chevat, dans laquelle vous m’interrogez sur différents aspects de la période qui suit le mariage, lequel sera célébré en un moment bon et fructueux(1). Il est clair que vous devez en parler, avant tout, avec votre fiancé, d’autant que, semble-t-il, lui-même m’a déjà écrit à propos d’une des questions que vous posez dans votre lettre.

Vous envisagez la poursuite de votre activité, dans le domaine de l’éducation, après votre mariage. Il est clair que, de façon générale, cela est particulièrement bon et judicieux, en particulier à notre époque et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie. Une telle activité est fondamentale, c’est bien évident.

D’après la formulation de votre lettre, j’espère que, d’ores et déjà à l’heure actuelle, vous effectuez votre travail avec l’abnégation et le dévouement qui conviennent. En effet, nos Sages ont donné l’assurance(2) que l’on vient en aide à celui qui désire se purifier et l’on connaît la précision de l’Admour Hazaken(3) selon laquelle ceci inclut également le fait de purifier les autres. Avec ma bénédiction pour me donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,

Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,

C. M. Simpson,

Notes

(1) Cette lettre est adressée à une jeune fille. Voir Hé’hal Mena’hem, tome 1, à la page 120.
(2) Dans le traité Yoma 38b.
(3) Dans le Likouteï Torah, commentaires de Chemini Atséret, à la page 88b.