Lettre n° 8666
Par la grâce de D.ieu,
19 Elloul 5723,
Brooklyn, New York,
A monsieur Noam Launer,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu connaissance, avec plaisir(1), de l’aide que vous avez apportée, dans le passé et que vous apportez encore, dans le présent, à la Yechiva A’heï Temimim de votre ville(2). J’ai bon espoir que vous poursuivrez en ce sens, d’une manière accrue, puisque nos Sages disent(3) que l’on s’élève dans le domaine de la sainteté. Bien plus, cette institution a progressé. Elle s’est développée et elle est utile, pour l’honneur de la ville et de sa région. Or, vous êtes le maire de cette ville et vous pouvez sûrement faire quelque chose, en la matière.
Nous sommes en Elloul, mois de la miséricorde et nous avons déjà passé le 18 Elloul, date de la naissance de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, cette année étant la cent cinquantième depuis son décès. Il est donc d’actualité de rappeler la manière dont il définit lui-même ce mois, au moyen de la parabole d’un roi qui, avant d’entrer dans la ville, est accueilli dans le champ, par les citadins. Dès lors, quiconque le désire peut aller à sa rencontre. Il accueille chacun avec bienveillance et montre un visage souriant à tous, comme l’explique le Likouteï Torah, Parchat Reéh, à la page 32a. Une force particulière est alors accordée pour faire tout ce qui convient et pour connaître la réussite.
Avec mes respects et ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne et douce année, à la fois matériellement et spirituellement,
Notes
(1) Le Rabbi emploie ici le mot Noam, plaisir, qui est également le prénom du destinataire de cette lettre.
(2) Richon Le Tsion.
(3) Dans le traité Bera’hot 28a.
19 Elloul 5723,
Brooklyn, New York,
A monsieur Noam Launer,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu connaissance, avec plaisir(1), de l’aide que vous avez apportée, dans le passé et que vous apportez encore, dans le présent, à la Yechiva A’heï Temimim de votre ville(2). J’ai bon espoir que vous poursuivrez en ce sens, d’une manière accrue, puisque nos Sages disent(3) que l’on s’élève dans le domaine de la sainteté. Bien plus, cette institution a progressé. Elle s’est développée et elle est utile, pour l’honneur de la ville et de sa région. Or, vous êtes le maire de cette ville et vous pouvez sûrement faire quelque chose, en la matière.
Nous sommes en Elloul, mois de la miséricorde et nous avons déjà passé le 18 Elloul, date de la naissance de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, cette année étant la cent cinquantième depuis son décès. Il est donc d’actualité de rappeler la manière dont il définit lui-même ce mois, au moyen de la parabole d’un roi qui, avant d’entrer dans la ville, est accueilli dans le champ, par les citadins. Dès lors, quiconque le désire peut aller à sa rencontre. Il accueille chacun avec bienveillance et montre un visage souriant à tous, comme l’explique le Likouteï Torah, Parchat Reéh, à la page 32a. Une force particulière est alors accordée pour faire tout ce qui convient et pour connaître la réussite.
Avec mes respects et ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne et douce année, à la fois matériellement et spirituellement,
Notes
(1) Le Rabbi emploie ici le mot Noam, plaisir, qui est également le prénom du destinataire de cette lettre.
(2) Richon Le Tsion.
(3) Dans le traité Bera’hot 28a.