Lettre n° 862
Par la grâce de D.ieu,
12 Tévet 5711,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav ‘Hano’h Hendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 2 Tévet, m’annonçant que votre fille Malka Yehoudit a eu une fille, en un moment bon et fructueux. Je lui adresse, par la présente, ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov. Sa mère et son père la conduiront à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse.
On lui a sans doute donné un nom au plus vite et je suis surpris que vous n’en parliez pas. Vous connaissez l’enseignement(2) que donne mon beau-père, le Rabbi, à ce propos. Il est basé sur le fait que l’Admour Hazaken demanda à l’Admour Haémtsahi de ne pas attendre le Chabbat pour donner un nom à sa fille qui venait de naître, qu’elle devait, au contraire, être nommée lors de la lecture de la Torah la plus proche de la naissance. Ceci contredit l’avis que l’on trouve dans les recueils de coutumes, selon lequel il faut, au préalable, attendre quelques jours.
Je conclus en vous adressant ma bénédiction pour que vous conceviez beaucoup de satisfaction de votre petite-fille et de tous vos descendants, pour que vous n’annonciez que de bonnes nouvelles toujours et tous les jours.
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav H. H. Havlin, de Jérusalem. Voir, à son propos, la lettre n°860.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°805.
12 Tévet 5711,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav ‘Hano’h Hendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 2 Tévet, m’annonçant que votre fille Malka Yehoudit a eu une fille, en un moment bon et fructueux. Je lui adresse, par la présente, ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov. Sa mère et son père la conduiront à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse.
On lui a sans doute donné un nom au plus vite et je suis surpris que vous n’en parliez pas. Vous connaissez l’enseignement(2) que donne mon beau-père, le Rabbi, à ce propos. Il est basé sur le fait que l’Admour Hazaken demanda à l’Admour Haémtsahi de ne pas attendre le Chabbat pour donner un nom à sa fille qui venait de naître, qu’elle devait, au contraire, être nommée lors de la lecture de la Torah la plus proche de la naissance. Ceci contredit l’avis que l’on trouve dans les recueils de coutumes, selon lequel il faut, au préalable, attendre quelques jours.
Je conclus en vous adressant ma bénédiction pour que vous conceviez beaucoup de satisfaction de votre petite-fille et de tous vos descendants, pour que vous n’annonciez que de bonnes nouvelles toujours et tous les jours.
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav H. H. Havlin, de Jérusalem. Voir, à son propos, la lettre n°860.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°805.