Lettre n° 860
Par la grâce de D.ieu,
11 Tévet 5711,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav ‘Hano’h Hendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 2 Tévet, alors que je m’inquiétais de votre long silence, qui est inhabituel, bien que vous ne m’ayez toujours pas indiqué pour quelle raison vous avez cessé d’écrire pendant si longtemps.
J’ai été satisfait d’apprendre que vous avez bien reçu les fascicules et les lettres qui y étaient jointes, que vous leur avez apporté la diffusion qui convient, qu’une réunion de ‘Hassidim a eu lieu le 19 Kislev et lors de la cinquième lumière de ‘Hanouka. Vous précisez que des personnes qui ne sont pas encore des ‘Hassidim y ont également participé. Vous redoublerez sûrement d’effort, en ce sens, afin que s’accomplisse la promesse du Saint béni soit-Il, rapportée par nos Sages, selon laquelle "si vous m’ouvrez une porte comme le chas d’une aiguille, Je vous en ouvrirai une comme celle du Sanctuaire".
Dernier point, qui est le plus important, j’ai bien reçu les cinq colis, contenant des manuscrits de ‘Hassidout. Je vous en remercie beaucoup et vous demande de multiplier de tels envois, à l’avenir. En effet, on peut sans doute trouver de très nombreux manuscrits anciens de ‘Hassidout, à Jérusalem et il y a bon espoir qu’il en découlera ce qui est bon pour le plus grand nombre. On trouve, en effet, dans ces manuscrits, des explications de nos maîtres, les chefs de ‘Habad, qui sont encore inédites. Le mérite collectif dépend donc de vous et vous recevrez ainsi la bénédiction et la réussite, pour tout ce qui vous concerne, de même que tous les vôtres.
Je vous signale, en particulier, les écrits du Rav H. E. Bichowski(2). Je n’en possède que quelques uns et il y en a sans doute beaucoup d’autres.
Je vous réjouirai également en vous annonçant que mon beau-père, le Rabbi, m’a transmis, cet hiver, le manuscrit du Pela’h Harimon(3) sur Chemot que vous lui avez adressé il y a un an et il m’a demandé de l’éditer. J’en prépare actuellement la publication.
Parallèlement, j’ai dit à mon beau-père, le Rabbi que certains ‘Hassidim me tiennent rigueur d’avoir proposé la publication de ce Pela’h Harimon, considérant que nous devons nous limiter à l’enseignement de nos chefs, les maîtres de ‘Habad. Mon beau-père, le Rabbi, a écarté cette critique et m’a ordonné d’éditer ce livre.
Notes
(1) Le Rav H. H. Havlin, de Jérusalem. Voir, à son propos, les lettres n°416 et 862.
(2) Les écrits du Rav ‘Haïm Eliézer Bichowski furent édités, à New York, en Tamouz 5750-1990, classés par thèmes et annotés par le Rav Chalom Dov Ber Lewin.
(3) De Rabbi Hillel Halévi de Paritch.
11 Tévet 5711,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav ‘Hano’h Hendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 2 Tévet, alors que je m’inquiétais de votre long silence, qui est inhabituel, bien que vous ne m’ayez toujours pas indiqué pour quelle raison vous avez cessé d’écrire pendant si longtemps.
J’ai été satisfait d’apprendre que vous avez bien reçu les fascicules et les lettres qui y étaient jointes, que vous leur avez apporté la diffusion qui convient, qu’une réunion de ‘Hassidim a eu lieu le 19 Kislev et lors de la cinquième lumière de ‘Hanouka. Vous précisez que des personnes qui ne sont pas encore des ‘Hassidim y ont également participé. Vous redoublerez sûrement d’effort, en ce sens, afin que s’accomplisse la promesse du Saint béni soit-Il, rapportée par nos Sages, selon laquelle "si vous m’ouvrez une porte comme le chas d’une aiguille, Je vous en ouvrirai une comme celle du Sanctuaire".
Dernier point, qui est le plus important, j’ai bien reçu les cinq colis, contenant des manuscrits de ‘Hassidout. Je vous en remercie beaucoup et vous demande de multiplier de tels envois, à l’avenir. En effet, on peut sans doute trouver de très nombreux manuscrits anciens de ‘Hassidout, à Jérusalem et il y a bon espoir qu’il en découlera ce qui est bon pour le plus grand nombre. On trouve, en effet, dans ces manuscrits, des explications de nos maîtres, les chefs de ‘Habad, qui sont encore inédites. Le mérite collectif dépend donc de vous et vous recevrez ainsi la bénédiction et la réussite, pour tout ce qui vous concerne, de même que tous les vôtres.
Je vous signale, en particulier, les écrits du Rav H. E. Bichowski(2). Je n’en possède que quelques uns et il y en a sans doute beaucoup d’autres.
Je vous réjouirai également en vous annonçant que mon beau-père, le Rabbi, m’a transmis, cet hiver, le manuscrit du Pela’h Harimon(3) sur Chemot que vous lui avez adressé il y a un an et il m’a demandé de l’éditer. J’en prépare actuellement la publication.
Parallèlement, j’ai dit à mon beau-père, le Rabbi que certains ‘Hassidim me tiennent rigueur d’avoir proposé la publication de ce Pela’h Harimon, considérant que nous devons nous limiter à l’enseignement de nos chefs, les maîtres de ‘Habad. Mon beau-père, le Rabbi, a écarté cette critique et m’a ordonné d’éditer ce livre.
Notes
(1) Le Rav H. H. Havlin, de Jérusalem. Voir, à son propos, les lettres n°416 et 862.
(2) Les écrits du Rav ‘Haïm Eliézer Bichowski furent édités, à New York, en Tamouz 5750-1990, classés par thèmes et annotés par le Rav Chalom Dov Ber Lewin.
(3) De Rabbi Hillel Halévi de Paritch.