Lettre n° 8516
Par la grâce de D.ieu,
14 Elloul 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Elloul. En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction des souhaits de votre cœur, dans tous les domaines que vous mentionnez.
Vous me faites part de ce qui vous est arrivé, concernant vos Tefillin de Rabbénou Tam(1). Vous étudierez donc, à différentes reprises, les lois des Tefillin, de l’Admour Hazaken(2). Il serait bon de parvenir à en avoir une bonne connaissance, au moins pour les paragraphes les plus usuels, ce qui exclut ceux qui concernent leur écriture. En effet, ces jours sont propices pour cela, puisque nous sommes en Elloul, mois de la miséricorde et du bon vouloir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, de même qu’afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Que le destinataire de cette lettre n’avait pu mettre, une fois. Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 21, à la page 358.
(2) Dans son Choul’han Arou’h.
14 Elloul 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Elloul. En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction des souhaits de votre cœur, dans tous les domaines que vous mentionnez.
Vous me faites part de ce qui vous est arrivé, concernant vos Tefillin de Rabbénou Tam(1). Vous étudierez donc, à différentes reprises, les lois des Tefillin, de l’Admour Hazaken(2). Il serait bon de parvenir à en avoir une bonne connaissance, au moins pour les paragraphes les plus usuels, ce qui exclut ceux qui concernent leur écriture. En effet, ces jours sont propices pour cela, puisque nous sommes en Elloul, mois de la miséricorde et du bon vouloir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, de même qu’afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Que le destinataire de cette lettre n’avait pu mettre, une fois. Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 21, à la page 358.
(2) Dans son Choul’han Arou’h.