Lettre n° 849
Par la grâce de D.ieu,
4 Tévet 5711,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et s’acquitte fidèlement
de sa tâche, le Rav Y. Hacohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu vos deux lettres du 18 Kislev et du mercredi de ‘Hanouka. Ma réponse a été retardée du fait de mes nombreuses occupations et surtout parce que, entre temps, nous avons pu converser au téléphone.
En tout état de cause, je voudrais vous rappeler encore une fois ici que j’ai mentionné votre nom, le 19 Kislev et à la veille de Roch ‘Hodech Tévet, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Comme nous l’avions convenu lorsque vous étiez ici, vous serez un soldat de mon beau-père, le Rabbi qui, en échange, prendra en charge la satisfaction de tous vos besoins, matériels et spirituels, de même que ceux de votre famille. Vous préparerez de larges réceptacles pour permettre la pleine réalisation de ses bénédictions.
J’espère que vous pourrez très vite m’annoncer de bonnes nouvelles, me dire que les bénédictions de mon beau-père, le Rabbi, se sont réalisées.
Je vous adresse avec la présente le fascicule édité à l’occasion de ‘Hanouka et la lettre que j’y ai joint(2). Ils paraissent avec retard, pour des raisons techniques, mais les points qui y sont évoqués restent d’actualité, tout au long de l’année.
J’attends de vos bonnes nouvelles et vous adresse ma bénédiction, ainsi qu’à tous les membres de votre famille,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Yaakov Kats, de Chicago. Voir, à son propos, la lettre n°822.
(2) Voir la lettre n°845.
4 Tévet 5711,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et s’acquitte fidèlement
de sa tâche, le Rav Y. Hacohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu vos deux lettres du 18 Kislev et du mercredi de ‘Hanouka. Ma réponse a été retardée du fait de mes nombreuses occupations et surtout parce que, entre temps, nous avons pu converser au téléphone.
En tout état de cause, je voudrais vous rappeler encore une fois ici que j’ai mentionné votre nom, le 19 Kislev et à la veille de Roch ‘Hodech Tévet, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Comme nous l’avions convenu lorsque vous étiez ici, vous serez un soldat de mon beau-père, le Rabbi qui, en échange, prendra en charge la satisfaction de tous vos besoins, matériels et spirituels, de même que ceux de votre famille. Vous préparerez de larges réceptacles pour permettre la pleine réalisation de ses bénédictions.
J’espère que vous pourrez très vite m’annoncer de bonnes nouvelles, me dire que les bénédictions de mon beau-père, le Rabbi, se sont réalisées.
Je vous adresse avec la présente le fascicule édité à l’occasion de ‘Hanouka et la lettre que j’y ai joint(2). Ils paraissent avec retard, pour des raisons techniques, mais les points qui y sont évoqués restent d’actualité, tout au long de l’année.
J’attends de vos bonnes nouvelles et vous adresse ma bénédiction, ainsi qu’à tous les membres de votre famille,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Yaakov Kats, de Chicago. Voir, à son propos, la lettre n°822.
(2) Voir la lettre n°845.