Lettre n° 8471
Par la grâce de D.ieu,
18 Tamouz 5722,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav E. R.(1) Chlita, grand Rabbin(2),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Tamouz, qui cite le nom d’un jeune homme agréable, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Elyahou Wazana, à propos d’un poste de Cho’het dans votre communauté. Puisse D.ieu faire qu’il accède à son rôle et à sa fonction en un moment bon et fructueux. Pour votre part, vous lui viendrez sûrement en aide afin qu’il assume, de la meilleure façon possible, cette mission sacrée. En effet, les commerçants et les bouchers écoutent le Rav, mais pas toujours le Cho’het, surtout lorsque celui-ci vient d’arriver. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus.
J’ai bon espoir que vous avez connaissance du récit de la libération des 12 et 13 Tamouz, qui viennent de passer, dates de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. En effet, “ le corps suit la tête ”(3). Puisse D.ieu faire que chacun relève la tête, à la fois en ce qui le concerne personnellement et dans ses réalisations communautaires. Tous agiront, en effet, dans les domaines pour lesquels celui dont nous célébrons la joie et la libération fit don de sa propre personne. Et, il demanda à ses disciples, à ceux qui suivent sa voie, plus généralement à tous ceux qui sont liés à lui, au sein de tout Israël, que ces actions soient “ conformes à ce qu’elles doivent être ”, menées avec empressement, de la part de l’homme et réalisées avec rapidité, par l’aide que leur accorde D.ieu.
C’est ainsi que l’on mettra en pratique la finalité profonde de ces actions, “ nous sommes les travailleurs du jour ”, celle d’illuminer, d’éclairer jusqu’à ce que la lumière se dévoile au point le plus bas et qu’elle puisse y être perçue. Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Elyahou R. Toaf.
(2) De Rome, Italie.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°8453.
18 Tamouz 5722,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav E. R.(1) Chlita, grand Rabbin(2),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Tamouz, qui cite le nom d’un jeune homme agréable, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Elyahou Wazana, à propos d’un poste de Cho’het dans votre communauté. Puisse D.ieu faire qu’il accède à son rôle et à sa fonction en un moment bon et fructueux. Pour votre part, vous lui viendrez sûrement en aide afin qu’il assume, de la meilleure façon possible, cette mission sacrée. En effet, les commerçants et les bouchers écoutent le Rav, mais pas toujours le Cho’het, surtout lorsque celui-ci vient d’arriver. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus.
J’ai bon espoir que vous avez connaissance du récit de la libération des 12 et 13 Tamouz, qui viennent de passer, dates de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. En effet, “ le corps suit la tête ”(3). Puisse D.ieu faire que chacun relève la tête, à la fois en ce qui le concerne personnellement et dans ses réalisations communautaires. Tous agiront, en effet, dans les domaines pour lesquels celui dont nous célébrons la joie et la libération fit don de sa propre personne. Et, il demanda à ses disciples, à ceux qui suivent sa voie, plus généralement à tous ceux qui sont liés à lui, au sein de tout Israël, que ces actions soient “ conformes à ce qu’elles doivent être ”, menées avec empressement, de la part de l’homme et réalisées avec rapidité, par l’aide que leur accorde D.ieu.
C’est ainsi que l’on mettra en pratique la finalité profonde de ces actions, “ nous sommes les travailleurs du jour ”, celle d’illuminer, d’éclairer jusqu’à ce que la lumière se dévoile au point le plus bas et qu’elle puisse y être perçue. Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Elyahou R. Toaf.
(2) De Rome, Italie.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°8453.