Lettre n° 847
Par la grâce de D.ieu,
4 Tévet 5711,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav, distingué ‘Hassid qui craintD.ieu et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Azryel Zelig(1),
Je vous salue et vous bénis,
En ce jour, celui de la Bar Mitsva de votre fils Moché Chlomo, je vous adresse, par la présente, mes bénédictions, en plus du télégramme que je vous ai envoyé. Il grandira, craindra D.ieu, sera un ‘Hassid et un érudit. Vous le conduirez à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse. La ‘Hassidout explique tout cela.
Je vous remercie d’avoir envoyé ici l’annonce relative aux élections(2) et l’extrait de presse qui parle de la mélodie du Rav de Lyadi(3). Vous continuerez sans doute à le faire, à l’avenir et je vous en remercie.
J’attends de bonnes nouvelles de la petite fille et, de fait, puisse D.ieu faire que vous m’annonciez uniquement de bonnes nouvelles, de façon générale et pour ce qui vous concerne, en particulier.
Je vous remercie de m’avoir fait le compte rendu de la fête du 19 et du 20 Kislev, de même que celle du Chabbat qui bénit le mois. Vous vous efforcerez sûrement d’organiser souvent de telles réunions et vous redoublerez d’ardeur dans la diffusion des sources de la ‘Hassidout, à l’extérieur, car telle est notre mission, à l’heure actuelle.
J’ai lu votre demande de bénédiction pour votre fils alors que je me trouvais près du tombeau, à la veille de Roch ‘Hodech. Le Juste qui quitte ce monde s’y trouve plus que de son vivant et il a sans doute accordé sa bénédiction, que D.ieu exaucera pleinement.
J’ai entendu qu’un cours de ‘Hassidout est donné dans le quartier de Beth Israël(4) et celui qui le donne bénéficie d’une aide financière du Collel ‘Habad. Or, celle-ci a été suspendue, il y a quelques mois déjà. Peut-être le cours s’en trouvera-t-il affaibli ou même annulé, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Je ne connais pas la raison de cette suspension, qui doit sans doute être motivée. Néanmoins, elle remet en cause un cours public de l’enseignement de notre chef. J’espère que vous trouverez une solution et qu’il ne sera pas interrompu, que D.ieu nous en garde. S’il n’y a aucune autre alternative, nous vous enverrons d’ici cette aide financière.
Vous me parlez d’instaurer un cours de ‘Hassidout en différents endroits et vous me dites qu’il faut, pour cela, des enseignants et des livres. Vous voudrez bien détailler votre propos. De quels quartiers s’agit-il et qui pourraient être les enseignants ? Quels sont le livres qu’il vous faut ? Sans en faire le voeu, je verrais alors ce qu’il me sera possible de faire.
Avec ma bénédiction,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav A. Z. Slonim, de Terre Sainte. Voir, à son propos, les lettres n°349, 1086 et 1113.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°813.
(3) L’Admour Hazaken.
(4) A Jérusalem.
4 Tévet 5711,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav, distingué ‘Hassid qui craintD.ieu et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Azryel Zelig(1),
Je vous salue et vous bénis,
En ce jour, celui de la Bar Mitsva de votre fils Moché Chlomo, je vous adresse, par la présente, mes bénédictions, en plus du télégramme que je vous ai envoyé. Il grandira, craindra D.ieu, sera un ‘Hassid et un érudit. Vous le conduirez à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse. La ‘Hassidout explique tout cela.
Je vous remercie d’avoir envoyé ici l’annonce relative aux élections(2) et l’extrait de presse qui parle de la mélodie du Rav de Lyadi(3). Vous continuerez sans doute à le faire, à l’avenir et je vous en remercie.
J’attends de bonnes nouvelles de la petite fille et, de fait, puisse D.ieu faire que vous m’annonciez uniquement de bonnes nouvelles, de façon générale et pour ce qui vous concerne, en particulier.
Je vous remercie de m’avoir fait le compte rendu de la fête du 19 et du 20 Kislev, de même que celle du Chabbat qui bénit le mois. Vous vous efforcerez sûrement d’organiser souvent de telles réunions et vous redoublerez d’ardeur dans la diffusion des sources de la ‘Hassidout, à l’extérieur, car telle est notre mission, à l’heure actuelle.
J’ai lu votre demande de bénédiction pour votre fils alors que je me trouvais près du tombeau, à la veille de Roch ‘Hodech. Le Juste qui quitte ce monde s’y trouve plus que de son vivant et il a sans doute accordé sa bénédiction, que D.ieu exaucera pleinement.
J’ai entendu qu’un cours de ‘Hassidout est donné dans le quartier de Beth Israël(4) et celui qui le donne bénéficie d’une aide financière du Collel ‘Habad. Or, celle-ci a été suspendue, il y a quelques mois déjà. Peut-être le cours s’en trouvera-t-il affaibli ou même annulé, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Je ne connais pas la raison de cette suspension, qui doit sans doute être motivée. Néanmoins, elle remet en cause un cours public de l’enseignement de notre chef. J’espère que vous trouverez une solution et qu’il ne sera pas interrompu, que D.ieu nous en garde. S’il n’y a aucune autre alternative, nous vous enverrons d’ici cette aide financière.
Vous me parlez d’instaurer un cours de ‘Hassidout en différents endroits et vous me dites qu’il faut, pour cela, des enseignants et des livres. Vous voudrez bien détailler votre propos. De quels quartiers s’agit-il et qui pourraient être les enseignants ? Quels sont le livres qu’il vous faut ? Sans en faire le voeu, je verrais alors ce qu’il me sera possible de faire.
Avec ma bénédiction,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav A. Z. Slonim, de Terre Sainte. Voir, à son propos, les lettres n°349, 1086 et 1113.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°813.
(3) L’Admour Hazaken.
(4) A Jérusalem.