Lettre n° 8452
Par la grâce de D.ieu,
29 Sivan 5722,
Brooklyn,
Lors de la naissance d’une fille, notre coutume(1) consiste à lui donner un nom lors de la prochaine lecture de la Torah(2). Et, celui qui désire retarder l’attribution du nom, à l’origine de la vitalité de celui qui le porte, doit encore apporter la preuve qu’il a effectivement le droit de le faire. Nos Sages disent(3) que : “ une femme doit être considérée comme ayant reçu la circoncision ” et il est clair qu’il en est ainsi depuis sa naissance(4).
J’ai vu ce que dit le Taameï Ha Minhaguim, à ce sujet, mais nous ne prenons pas de responsabilité en ce qui concerne les rumeurs.
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°7641.
(2) Celle qui fait immédiatement suite à la naissance.
(3) Dans le traité Avoda Zara 27a.
(4) De ce fait, on attend la circoncision pour un garçon, alors que le nom doit être attribué au plus vite, pour une fille.
29 Sivan 5722,
Brooklyn,
Lors de la naissance d’une fille, notre coutume(1) consiste à lui donner un nom lors de la prochaine lecture de la Torah(2). Et, celui qui désire retarder l’attribution du nom, à l’origine de la vitalité de celui qui le porte, doit encore apporter la preuve qu’il a effectivement le droit de le faire. Nos Sages disent(3) que : “ une femme doit être considérée comme ayant reçu la circoncision ” et il est clair qu’il en est ainsi depuis sa naissance(4).
J’ai vu ce que dit le Taameï Ha Minhaguim, à ce sujet, mais nous ne prenons pas de responsabilité en ce qui concerne les rumeurs.
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°7641.
(2) Celle qui fait immédiatement suite à la naissance.
(3) Dans le traité Avoda Zara 27a.
(4) De ce fait, on attend la circoncision pour un garçon, alors que le nom doit être attribué au plus vite, pour une fille.