Lettre n° 806
Par la grâce de D.ieu,
26 Mar’Hechvan 5711,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du dimanche de la Parchat Vayéra, dans laquelle vous me dites que votre petite fille est mal à l’aise dans sa classe d’enseignement juif, qu’elle pleure souvent. Vous craignez que son étude du Judaïsme n’en soit compromis.
J’ai demandé quels étaient le programme d’étude et les manuels de cette école. D’après les informations que j’ai obtenues, je ne pense pas qu’il faille craindre ce que vous dites. Elle a sans doute des difficultés à se faire une amie.
Il faudrait donc que l’institutrice l’aide à se faire des amies. Ainsi, votre petite fille se sentira mieux et vous verrez qu’il n’y a aucune raison de vous faire du soucis, à son propos.
Vous devez savoir que votre petite fille est l’élève d’une école fondée par mon beau-père, le Rabbi, qui a été placée sous son autorité et l’est encore, à l’heure actuelle. Il est clair que rien de mal ne peut en découler, ce qu’à D.ieu ne plaise. Bien au contraire, c’est le moyen d’obtenir la santé, matérielle et spirituelle.
Grâce aux enfants qui sont élèves de ces institutions, la chaleur du Judaïsme et de la ‘Hassidout s’introduit dans les foyers des parents.
J’attends de vous une bonne nouvelle, celle que votre petite fille se sent mieux et progresse dans son étude du Judaïsme.
Avec ma bénédiction et dans l’espoir de recevoir de vos bonnes nouvelles,
Mena’hem Schneerson,
Vous trouverez ci-joint le compte rendu des propos tenus durant le Chabbat Béréchit. Vous les lirez sans doute avec l’attention qui convient, en particulier pour les paragraphes 21 et 22.
26 Mar’Hechvan 5711,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du dimanche de la Parchat Vayéra, dans laquelle vous me dites que votre petite fille est mal à l’aise dans sa classe d’enseignement juif, qu’elle pleure souvent. Vous craignez que son étude du Judaïsme n’en soit compromis.
J’ai demandé quels étaient le programme d’étude et les manuels de cette école. D’après les informations que j’ai obtenues, je ne pense pas qu’il faille craindre ce que vous dites. Elle a sans doute des difficultés à se faire une amie.
Il faudrait donc que l’institutrice l’aide à se faire des amies. Ainsi, votre petite fille se sentira mieux et vous verrez qu’il n’y a aucune raison de vous faire du soucis, à son propos.
Vous devez savoir que votre petite fille est l’élève d’une école fondée par mon beau-père, le Rabbi, qui a été placée sous son autorité et l’est encore, à l’heure actuelle. Il est clair que rien de mal ne peut en découler, ce qu’à D.ieu ne plaise. Bien au contraire, c’est le moyen d’obtenir la santé, matérielle et spirituelle.
Grâce aux enfants qui sont élèves de ces institutions, la chaleur du Judaïsme et de la ‘Hassidout s’introduit dans les foyers des parents.
J’attends de vous une bonne nouvelle, celle que votre petite fille se sent mieux et progresse dans son étude du Judaïsme.
Avec ma bénédiction et dans l’espoir de recevoir de vos bonnes nouvelles,
Mena’hem Schneerson,
Vous trouverez ci-joint le compte rendu des propos tenus durant le Chabbat Béréchit. Vous les lirez sans doute avec l’attention qui convient, en particulier pour les paragraphes 21 et 22.