Lettre n° 8055
Par la grâce de D.ieu,
24 Sivan 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Its’hak(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je suis grandement(2) surpris de n’avoir aucune nouvelle de vous depuis que j’ai reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Sivan. Un mois s’est donc écoulé depuis la fin des inscriptions(3) et l’on ne sait toujours pas quelle sera l’issue. Mais, peut-être ce silence signifie-t-il que rien n’a été fait concrètement. Pour autant, si c’est effectivement le cas, cela ne dispense pas de prévenir car on doit savoir, ici, quelle est la situation, plutôt que d’errer sans nouvelles et d’attendre des lettres émanant d’autres côtés. En outre, il est nécessaire de préparer les vacances, d’organiser les journées d’étude, d’établir les comptes. Il me semble que même une “ marmite appartenant aux associés ”(4) ne justifie pas un tel manque de correspondance.
Je ne répèterai pas encore une fois ici les questions que j’ai posées, dans ma précédente lettre, aux membres de la direction(5). A n’en pas douter, vous y répondrez au plus vite. Que D.ieu vous accorde le succès d’annoncer de bonnes nouvelles de l’état de santé des membres de votre famille, de chacun d’entre eux et également de vous-même, tout comme de ce qui concerne le réseau. Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Notes
(1) Le Rav I. Gansburg. Voir, à son sujet, la lettre n°8042.
(2) Le mot “ grandement ” est souligné par le Rabbi.
(3) Des élèves dans les écoles du réseau Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch.
(4) Qui en sont collectivement responsables et dont nul ne s’occupe donc réellement.
(5) Du réseau.
24 Sivan 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Its’hak(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je suis grandement(2) surpris de n’avoir aucune nouvelle de vous depuis que j’ai reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Sivan. Un mois s’est donc écoulé depuis la fin des inscriptions(3) et l’on ne sait toujours pas quelle sera l’issue. Mais, peut-être ce silence signifie-t-il que rien n’a été fait concrètement. Pour autant, si c’est effectivement le cas, cela ne dispense pas de prévenir car on doit savoir, ici, quelle est la situation, plutôt que d’errer sans nouvelles et d’attendre des lettres émanant d’autres côtés. En outre, il est nécessaire de préparer les vacances, d’organiser les journées d’étude, d’établir les comptes. Il me semble que même une “ marmite appartenant aux associés ”(4) ne justifie pas un tel manque de correspondance.
Je ne répèterai pas encore une fois ici les questions que j’ai posées, dans ma précédente lettre, aux membres de la direction(5). A n’en pas douter, vous y répondrez au plus vite. Que D.ieu vous accorde le succès d’annoncer de bonnes nouvelles de l’état de santé des membres de votre famille, de chacun d’entre eux et également de vous-même, tout comme de ce qui concerne le réseau. Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Notes
(1) Le Rav I. Gansburg. Voir, à son sujet, la lettre n°8042.
(2) Le mot “ grandement ” est souligné par le Rabbi.
(3) Des élèves dans les écoles du réseau Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch.
(4) Qui en sont collectivement responsables et dont nul ne s’occupe donc réellement.
(5) Du réseau.