Lettre n° 8052
Par la grâce de D.ieu,
20 Iyar 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Israël Noa’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 17 Iyar, dans laquelle vous me parlez de vos petits-enfants se trouvant à Milan(2) et l’expression que vous employez, dans ce courrier, est : “ Mon D.ieu ! Mon D.ieu ! ”. Or, je n’en comprends pas la raison, car de nombreuses personnes et, en particulier, des élèves, reçoivent des visas pour la France. Pourquoi cela serait-il plus difficile pour votre petit-fils et votre petite-fille ? Néanmoins, peut-être en ont-ils sollicité non seulement pour eux-mêmes, mais aussi pour toute la famille, ce qui a éveillé la suspicion du consul. Vous prendrez donc conseil auprès d’un avocat de Paris, qui vous indiquera comment formuler la demande afin que votre petit-fils et votre petite-fille puissent poursuivre leurs études à la Yechiva Tom’heï Temimim et au Beth Rivka(3). Par ailleurs, peut-être y a-t-il aussi une autre solution. Ainsi, ils peuvent prendre un visa de transit par la France.
Vous me communiquez l’avis du médecin, qui vous suggère d’aller faire une cure. Cela est judicieux. Puisse D.ieu faire que vous guérissiez ainsi et que s’accomplisse, en la matière, la promesse de la Torah selon laquelle : “ le médecin a été autorisé à guérir ”. Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav I. N. Belinitski, de Brunoy, dans la région parisienne. Voir, à son sujet, la lettre n°7926.
(2) Les enfants du Rav Chnéor Zalman Gansburg.
(3) De Brunoy et de Yerres, dans la région parisienne.
20 Iyar 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Israël Noa’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 17 Iyar, dans laquelle vous me parlez de vos petits-enfants se trouvant à Milan(2) et l’expression que vous employez, dans ce courrier, est : “ Mon D.ieu ! Mon D.ieu ! ”. Or, je n’en comprends pas la raison, car de nombreuses personnes et, en particulier, des élèves, reçoivent des visas pour la France. Pourquoi cela serait-il plus difficile pour votre petit-fils et votre petite-fille ? Néanmoins, peut-être en ont-ils sollicité non seulement pour eux-mêmes, mais aussi pour toute la famille, ce qui a éveillé la suspicion du consul. Vous prendrez donc conseil auprès d’un avocat de Paris, qui vous indiquera comment formuler la demande afin que votre petit-fils et votre petite-fille puissent poursuivre leurs études à la Yechiva Tom’heï Temimim et au Beth Rivka(3). Par ailleurs, peut-être y a-t-il aussi une autre solution. Ainsi, ils peuvent prendre un visa de transit par la France.
Vous me communiquez l’avis du médecin, qui vous suggère d’aller faire une cure. Cela est judicieux. Puisse D.ieu faire que vous guérissiez ainsi et que s’accomplisse, en la matière, la promesse de la Torah selon laquelle : “ le médecin a été autorisé à guérir ”. Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav I. N. Belinitski, de Brunoy, dans la région parisienne. Voir, à son sujet, la lettre n°7926.
(2) Les enfants du Rav Chnéor Zalman Gansburg.
(3) De Brunoy et de Yerres, dans la région parisienne.