Lettre n° 805
Par la grâce de D.ieu,
26 Mar’Hechvan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
En plus de mon télégramme, je voudrais réitérer ma bénédiction de Mazal Tov pour la naissance de votre fille. Puissiez-vous la conduire à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse.
J’ai été satisfait d’apprendre que vous avez donné un nom à votre fille dès le jeudi(1). Mon beau-père, le Rabbi, m’a raconté que l’Admour Hazaken appela l’Admour Haémtsahi, lors de la naissance de l’une de ses filles. Il lui dit qu’une certaine raison prêterait à penser qu’il faille attendre la lecture de la Torah du Chabbat pour lui donner un nom, mais que, néanmoins, pour certains motifs, ce n’est pas cette pratique qui devait être retenue. Il lui demanda donc de donner un nom à sa fille lors de la lecture de la Torah la plus proche de la naissance.
Mon beau-père, le Rabbi, m’a raconté tout cela(2) à propos d’une personne qui se trouve ici. On peut en conclure qu’il doit en être de même pour chacun(3).
Conformément à votre demande, le nom de votre fille a été inscrit dans le livre de la vie et de la lumière.
J’attends de vos bonnes nouvelles, en particulier celle que votre femme est en bonne santé, de même que votre fille, qui vient de naître et votre fils.
Avec ma bénédiction pour vous et pour tous les membres de votre famille,
Mena’hem Schneerson,
Vous trouverez ci-joint un reçu et le contenu des propos de Chabbat Béréchit(4). Vous lirez avec attention les paragraphes 21 et 22, auxquels vous apporterez la diffusion qu’ils méritent.
Notes
(1) Sans attendre le Chabbat pour le faire.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°862.
(3) Le Rabbi note, en bas de page : "Le Taameï Haminhaguim, quatrième partie, page 75 dit : "Le Rabbi de Belz m’a indiqué qu’il fallait attendre cinq jours avant de donner un nom à une fille". Mais, qui sait si ses propos ont été rapportés avec exactitude ? En tout état de cause, nous devons nous en tenir aux enseignements de nos maîtres. Vous consulterez le Séfer ‘Hassidim, au paragraphe 1101".
(4) Tenus par le Rabbi lui-même.
26 Mar’Hechvan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
En plus de mon télégramme, je voudrais réitérer ma bénédiction de Mazal Tov pour la naissance de votre fille. Puissiez-vous la conduire à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse.
J’ai été satisfait d’apprendre que vous avez donné un nom à votre fille dès le jeudi(1). Mon beau-père, le Rabbi, m’a raconté que l’Admour Hazaken appela l’Admour Haémtsahi, lors de la naissance de l’une de ses filles. Il lui dit qu’une certaine raison prêterait à penser qu’il faille attendre la lecture de la Torah du Chabbat pour lui donner un nom, mais que, néanmoins, pour certains motifs, ce n’est pas cette pratique qui devait être retenue. Il lui demanda donc de donner un nom à sa fille lors de la lecture de la Torah la plus proche de la naissance.
Mon beau-père, le Rabbi, m’a raconté tout cela(2) à propos d’une personne qui se trouve ici. On peut en conclure qu’il doit en être de même pour chacun(3).
Conformément à votre demande, le nom de votre fille a été inscrit dans le livre de la vie et de la lumière.
J’attends de vos bonnes nouvelles, en particulier celle que votre femme est en bonne santé, de même que votre fille, qui vient de naître et votre fils.
Avec ma bénédiction pour vous et pour tous les membres de votre famille,
Mena’hem Schneerson,
Vous trouverez ci-joint un reçu et le contenu des propos de Chabbat Béréchit(4). Vous lirez avec attention les paragraphes 21 et 22, auxquels vous apporterez la diffusion qu’ils méritent.
Notes
(1) Sans attendre le Chabbat pour le faire.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°862.
(3) Le Rabbi note, en bas de page : "Le Taameï Haminhaguim, quatrième partie, page 75 dit : "Le Rabbi de Belz m’a indiqué qu’il fallait attendre cinq jours avant de donner un nom à une fille". Mais, qui sait si ses propos ont été rapportés avec exactitude ? En tout état de cause, nous devons nous en tenir aux enseignements de nos maîtres. Vous consulterez le Séfer ‘Hassidim, au paragraphe 1101".
(4) Tenus par le Rabbi lui-même.