Lettre n° 7805
[Début de 5707(1)]
Par la grâce de D.ieu,
Au distingué et agréable ‘Hassid qui craint D.ieu,
Le Rav C. M. Kalmenson(2),
Je vous salue et vous bénis,
Je viens d’apprendre qu’il serait peut-être possible d’écrire à ma chère mère(3), puisse-t-elle avoir une longue vie, à cette adresse(4). Je tente donc de le faire de cette façon. Vous voudrez bien lui transmettre la lettre ci-jointe(5) et me dire ce qu’il en est. Je présume que tous les ‘Hassidim lui viennent en aide, dans toute la mesure du possible, sur mon compte(6). Bien entendu, je les rembourserai et je leur exprimerai, en outre, ma sincère reconnaissance.
Si la présente vous parvient, vous m’indiquerez sûrement de quelle manière il y aura moyen de vous écrire à l’avenir et s’il sera possible de vous adresser, de cette façon, par exemple, les lettres de mon beau-père, le Rabbi Chlita. J’abrège la présente car je dois me dépêcher, mais j’attends votre réponse détaillée. Je vous salue, de même que tous les ‘Hassidim et je vous souhaite tout le bien, matériel et spirituel.
Notes
(1) Fin 1946.
(2) Le Rav Chalom Mendel Kalmenson, de Paris, qui, alors, se trouvait à Prague. Voir, à son sujet, les lettres n°5090, 7806, 7808, 7810, 7817 et 7818.
(3) Celle-ci, à l’époque, venait de quitter la Russie et elle se trouvait à Paris, attendant son départ pour les Etats-Unis.
(4) Celle du Rav Kalmenson qui, après avoir quitté la Russie, était resté à Prague afin de venir en aide aux réfugiés de ce pays, en route vers les pays libres.
(5) Dans la lettre n°260, du mardi de la Parchat Vaye’hi 5707, le Rabbi écrit : “ Je vous remercie d’avoir fait parvenir ma lettre à ma mère ”.
(6) Le Rabbi s’engage à rembourser les frais qui en résulteront.
Par la grâce de D.ieu,
Au distingué et agréable ‘Hassid qui craint D.ieu,
Le Rav C. M. Kalmenson(2),
Je vous salue et vous bénis,
Je viens d’apprendre qu’il serait peut-être possible d’écrire à ma chère mère(3), puisse-t-elle avoir une longue vie, à cette adresse(4). Je tente donc de le faire de cette façon. Vous voudrez bien lui transmettre la lettre ci-jointe(5) et me dire ce qu’il en est. Je présume que tous les ‘Hassidim lui viennent en aide, dans toute la mesure du possible, sur mon compte(6). Bien entendu, je les rembourserai et je leur exprimerai, en outre, ma sincère reconnaissance.
Si la présente vous parvient, vous m’indiquerez sûrement de quelle manière il y aura moyen de vous écrire à l’avenir et s’il sera possible de vous adresser, de cette façon, par exemple, les lettres de mon beau-père, le Rabbi Chlita. J’abrège la présente car je dois me dépêcher, mais j’attends votre réponse détaillée. Je vous salue, de même que tous les ‘Hassidim et je vous souhaite tout le bien, matériel et spirituel.
Notes
(1) Fin 1946.
(2) Le Rav Chalom Mendel Kalmenson, de Paris, qui, alors, se trouvait à Prague. Voir, à son sujet, les lettres n°5090, 7806, 7808, 7810, 7817 et 7818.
(3) Celle-ci, à l’époque, venait de quitter la Russie et elle se trouvait à Paris, attendant son départ pour les Etats-Unis.
(4) Celle du Rav Kalmenson qui, après avoir quitté la Russie, était resté à Prague afin de venir en aide aux réfugiés de ce pays, en route vers les pays libres.
(5) Dans la lettre n°260, du mardi de la Parchat Vaye’hi 5707, le Rabbi écrit : “ Je vous remercie d’avoir fait parvenir ma lettre à ma mère ”.
(6) Le Rabbi s’engage à rembourser les frais qui en résulteront.