Lettre n° 7653
Par la grâce de D.ieu,
Roch ‘Hodech Sivan 5721,
Brooklyn, New York,
Au distingué et agréable ‘Hassid, percevant
tout ce qui est positif, empli d’empressement,
aux multiples accomplissements, se consacrant
aux besoins communautaires, le Rav Its’hak,
qui est appelé Docteur Lewin(1),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Chavouot, temps du don de notre Torah, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse ma bénédiction, selon les termes du maître, de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin de recevoir la Torah joyeusement et d’une manière profonde. Avec mes respects et ma bénédiction à l’occasion de la fête,
Vous me faites part des difficultés à écrire l’histoire de la récente période de la Shoa et de celle qui l’a précédée. Vous soulignez à quel point il convient d’être prudent, en ce domaine. Il est clair que c’est effectivement le cas, mais l’on a pu observer, de par le passé, qu’en retardant le commencement d’un projet jusqu’à ce que l’on ait la certitude d’atteindre le degré de perfection recherché, on le condamne, la plupart du temps, à ne jamais voir le jour(2). Combien plus cela est-il vrai en la matière, car il y a tout lieu de penser que quelqu’un “ vous devancera ”, qui n’aura ni pitié ni générosité envers ceux qui craignent la Parole de D.ieu(3). Par ailleurs, je sais que vous vous intéressez à l’éducation des jeunes filles juives. Je vous joins donc une copie de ma lettre et de notes sur ce sujet. J’espère que vous y trouverez un intérêt.
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°7491.
(2) Voir la lettre suivante.
(3) Et, dont le livre sera donc étranger à la foi juive.
Roch ‘Hodech Sivan 5721,
Brooklyn, New York,
Au distingué et agréable ‘Hassid, percevant
tout ce qui est positif, empli d’empressement,
aux multiples accomplissements, se consacrant
aux besoins communautaires, le Rav Its’hak,
qui est appelé Docteur Lewin(1),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Chavouot, temps du don de notre Torah, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse ma bénédiction, selon les termes du maître, de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin de recevoir la Torah joyeusement et d’une manière profonde. Avec mes respects et ma bénédiction à l’occasion de la fête,
Vous me faites part des difficultés à écrire l’histoire de la récente période de la Shoa et de celle qui l’a précédée. Vous soulignez à quel point il convient d’être prudent, en ce domaine. Il est clair que c’est effectivement le cas, mais l’on a pu observer, de par le passé, qu’en retardant le commencement d’un projet jusqu’à ce que l’on ait la certitude d’atteindre le degré de perfection recherché, on le condamne, la plupart du temps, à ne jamais voir le jour(2). Combien plus cela est-il vrai en la matière, car il y a tout lieu de penser que quelqu’un “ vous devancera ”, qui n’aura ni pitié ni générosité envers ceux qui craignent la Parole de D.ieu(3). Par ailleurs, je sais que vous vous intéressez à l’éducation des jeunes filles juives. Je vous joins donc une copie de ma lettre et de notes sur ce sujet. J’espère que vous y trouverez un intérêt.
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°7491.
(2) Voir la lettre suivante.
(3) Et, dont le livre sera donc étranger à la foi juive.