Lettre n° 7262
Par la grâce de D.ieu,
18 Nissan 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, avec ce qui y était joint. En un moment propice, on mentionnera votre nom et celui des personnes que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Je suis surpris qu’en toutes vos lettres, vous ne disiez rien de vos actions sacrées, c’est-à-dire l’accomplissement de votre mission, celle de diffuser la Torah et ses Mitsvot en tout endroit où s’exerce votre influence. Car, au final, il est bien clair que la Torah et les Mitsvot sont effectivement le canal et les réceptacles permettant d’obtenir et de recevoir la bénédiction de D.ieu. Un effort, consenti selon les voies naturelles, n’a pas d’autre but que de forger ces réceptacles recueillant ce qui est d’ores et déjà accordé là-haut, mais qu’il faut encore révéler ici-bas.
Bien plus, la confection de ces réceptacles est indispensable du fait de la situation actuelle et non pas uniquement pour eux-mêmes, comme l’établissent différents textes, en particulier le Kountrass Ou Mayan, se basant sur le verset : “ Et, l’Eternel ton D.ieu te bénira en tout ce que tu feras ”. Ainsi, on peut tenir le raisonnement suivant : si, pour forger ce qui n’est qu’un réceptacle, on consent à d’immenses efforts, à une intense fatigue, en ne tenant aucun compte des barrières et des obstacles qui se dressent, combien plus doit-il en être ainsi pour ce qui est essentiel. Cette constatation est si évidente qu’à quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus. Je serai heureux d’avoir de bonnes nouvelles de tout cela et je précise que chaque Juif en a le moyen, dès lors qu’il en reçoit l’Injonction. A n’en pas douter, on peut s’en remettre aux explications qui ont été développées, en la matière, par le Baal Chem Tov et par les maîtres de ‘Habad. C’est à ce propos qu’il est dit : “ Les pas de l’homme sont préparés par D.ieu et Il agrée sa voie ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Du fait de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre et je le fais donc à sa place,
Le secrétaire,
18 Nissan 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, avec ce qui y était joint. En un moment propice, on mentionnera votre nom et celui des personnes que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Je suis surpris qu’en toutes vos lettres, vous ne disiez rien de vos actions sacrées, c’est-à-dire l’accomplissement de votre mission, celle de diffuser la Torah et ses Mitsvot en tout endroit où s’exerce votre influence. Car, au final, il est bien clair que la Torah et les Mitsvot sont effectivement le canal et les réceptacles permettant d’obtenir et de recevoir la bénédiction de D.ieu. Un effort, consenti selon les voies naturelles, n’a pas d’autre but que de forger ces réceptacles recueillant ce qui est d’ores et déjà accordé là-haut, mais qu’il faut encore révéler ici-bas.
Bien plus, la confection de ces réceptacles est indispensable du fait de la situation actuelle et non pas uniquement pour eux-mêmes, comme l’établissent différents textes, en particulier le Kountrass Ou Mayan, se basant sur le verset : “ Et, l’Eternel ton D.ieu te bénira en tout ce que tu feras ”. Ainsi, on peut tenir le raisonnement suivant : si, pour forger ce qui n’est qu’un réceptacle, on consent à d’immenses efforts, à une intense fatigue, en ne tenant aucun compte des barrières et des obstacles qui se dressent, combien plus doit-il en être ainsi pour ce qui est essentiel. Cette constatation est si évidente qu’à quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus. Je serai heureux d’avoir de bonnes nouvelles de tout cela et je précise que chaque Juif en a le moyen, dès lors qu’il en reçoit l’Injonction. A n’en pas douter, on peut s’en remettre aux explications qui ont été développées, en la matière, par le Baal Chem Tov et par les maîtres de ‘Habad. C’est à ce propos qu’il est dit : “ Les pas de l’homme sont préparés par D.ieu et Il agrée sa voie ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Du fait de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre et je le fais donc à sa place,
Le secrétaire,