Lettre n° 7252
Par la grâce de D.ieu,
10 Nissan 5720,
Brooklyn, New York,
Je vous salue et vous bénis,
Nous sommes à quelques jours de la fête de Pessa’h, temps de notre liberté, qui apporta non seulement la libération, au sens le plus littéral, mais permit, en outre, d’échapper aux limites de la nature. Tout cela fut réalisé avec des miracles évidents. Au début de la libération, l’Egypte fut frappée et, simultanément, Israël fut guéri, ce qui va à l’encontre de la nature, y compris dans le domaine de la sainteté, puisque les Attributs de la rigueur et de la bonté se révélèrent conjointement. Une telle manifestation fut possible par un dévoilement de l’Essence de D.ieu, “ Moi et non un ange, Moi et non un séraphin, Moi et non un émissaire ”. D.ieu Lui-même le réalisa, comme l’explique le Rachba dans ses responsa, parce que rien ne Lui est impossible. Il en fut de même, à la fin de Pessa’h, pour le passage de la mer Rouge, même si un miracle évident n’était pas indispensable, en la matière, puisque les enfants d’Israël quittèrent la mer du côté où ils s’y étaient engagés, selon les Tossafot, au traité Ara’hin 15a.
Puisse donc D.ieu faire qu’il en soit de même dans tous les domaines de la Torah et des Mitsvot et, combien plus, dans celui de l’éducation, qui est directement lié à la sortie d’Egypte. C’est, en effet, les enfants qui “ Le reconnurent les premiers ” et l’épisode se conclut par le don de la Torah, lorsqu’il fut proclamé : “ nos enfants seront nos garants ”. Je conclus ma lettre comme je l’avais commencé, en faisant référence à la relation la meilleure qui soit, celle que vous entretenez avec ces institutions, d’autant que vous leur avez accordé votre soutien, votre appui et votre amabilité. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour une liberté véritable de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, dans la joie et l’enthousiasme, de même qu’avec respect,
10 Nissan 5720,
Brooklyn, New York,
Je vous salue et vous bénis,
Nous sommes à quelques jours de la fête de Pessa’h, temps de notre liberté, qui apporta non seulement la libération, au sens le plus littéral, mais permit, en outre, d’échapper aux limites de la nature. Tout cela fut réalisé avec des miracles évidents. Au début de la libération, l’Egypte fut frappée et, simultanément, Israël fut guéri, ce qui va à l’encontre de la nature, y compris dans le domaine de la sainteté, puisque les Attributs de la rigueur et de la bonté se révélèrent conjointement. Une telle manifestation fut possible par un dévoilement de l’Essence de D.ieu, “ Moi et non un ange, Moi et non un séraphin, Moi et non un émissaire ”. D.ieu Lui-même le réalisa, comme l’explique le Rachba dans ses responsa, parce que rien ne Lui est impossible. Il en fut de même, à la fin de Pessa’h, pour le passage de la mer Rouge, même si un miracle évident n’était pas indispensable, en la matière, puisque les enfants d’Israël quittèrent la mer du côté où ils s’y étaient engagés, selon les Tossafot, au traité Ara’hin 15a.
Puisse donc D.ieu faire qu’il en soit de même dans tous les domaines de la Torah et des Mitsvot et, combien plus, dans celui de l’éducation, qui est directement lié à la sortie d’Egypte. C’est, en effet, les enfants qui “ Le reconnurent les premiers ” et l’épisode se conclut par le don de la Torah, lorsqu’il fut proclamé : “ nos enfants seront nos garants ”. Je conclus ma lettre comme je l’avais commencé, en faisant référence à la relation la meilleure qui soit, celle que vous entretenez avec ces institutions, d’autant que vous leur avez accordé votre soutien, votre appui et votre amabilité. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour une liberté véritable de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, dans la joie et l’enthousiasme, de même qu’avec respect,