Lettre n° 6822
Par la grâce de D.ieu,
25 Nissan 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples
accomplissements, le Rav Ichaya(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre de ‘Hol Ha Moéd Pessa’h, avec ce qui y était joint. Dans celle-ci, vous me dites ce que vous avez été étudiant, dans le temps, à la Yechiva A’heï Temimim de Worcester, sous la direction du Rav, aux bons comportements et aux multiples accomplissements, le Rav Yehouda Tsvi Fogelman(2). A l’heure actuelle, vous continuez à correspondre avec lui. Vous me rapportez également que vous avez distribué de la Matsa à tous ceux que vous avez pu contacter. Puisse D.ieu faire que vous vous serviez des aptitudes que vous avez reçues et de l’influence que vous exercez, par un effet de la divine Providence, afin de diffuser la Torah et le Judaïsme dans des cercles de plus en plus larges, en particulier parmi les Juifs qui se trouvent dans l’armée.
J’ai déjà expliqué plus longuement, par ailleurs qu’il faut apprendre de tout événement un enseignement pour le service de D.ieu, en particulier d’une situation ou d’un état dans lequel on se trouve depuis plusieurs années. En l’occurrence, le principe fondamental et la règle de survie d’une armée sont une soumission intègre, sans soulever d’objections, sans même poser de questions, en obéissant pleinement, d’emblée, aux instructions données. Autre point, une faiblesse de la part de n’importe quel soldat, en la matière, ne concerne pas uniquement sa propre personne, mais aussi tous ses amis, l’ensemble de son bataillon et même, de la sorte, l’ensemble du campement militaire et toute la défense du pays.
Or, s’il en est ainsi pour des instructions données par des hommes de chair et d’os, combien plus est-ce le cas pour les Injonctions du Chef d’état major de toute la création, le Roi, Roi suprême, le Saint béni soit-Il. Il est bien sûr inutile d’en dire plus. Je vous adresse ma bénédiction pour connaître la réussite en tout cela, l’idée essentielle étant de raffermir son propre comportement, en “ s’humectant au point d’humecter les autres ”. Et, rien ne résiste à la volonté. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
N. B. : A l’avenir, vous continuerez sûrement à m’adresser ce que vous publiez. Je vous en remercie d’avance.
Notes
(1) Le Rav I. Ziv, de Port Bragg.
(2) Voir, à son sujet, la lettre n°6743.
25 Nissan 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples
accomplissements, le Rav Ichaya(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre de ‘Hol Ha Moéd Pessa’h, avec ce qui y était joint. Dans celle-ci, vous me dites ce que vous avez été étudiant, dans le temps, à la Yechiva A’heï Temimim de Worcester, sous la direction du Rav, aux bons comportements et aux multiples accomplissements, le Rav Yehouda Tsvi Fogelman(2). A l’heure actuelle, vous continuez à correspondre avec lui. Vous me rapportez également que vous avez distribué de la Matsa à tous ceux que vous avez pu contacter. Puisse D.ieu faire que vous vous serviez des aptitudes que vous avez reçues et de l’influence que vous exercez, par un effet de la divine Providence, afin de diffuser la Torah et le Judaïsme dans des cercles de plus en plus larges, en particulier parmi les Juifs qui se trouvent dans l’armée.
J’ai déjà expliqué plus longuement, par ailleurs qu’il faut apprendre de tout événement un enseignement pour le service de D.ieu, en particulier d’une situation ou d’un état dans lequel on se trouve depuis plusieurs années. En l’occurrence, le principe fondamental et la règle de survie d’une armée sont une soumission intègre, sans soulever d’objections, sans même poser de questions, en obéissant pleinement, d’emblée, aux instructions données. Autre point, une faiblesse de la part de n’importe quel soldat, en la matière, ne concerne pas uniquement sa propre personne, mais aussi tous ses amis, l’ensemble de son bataillon et même, de la sorte, l’ensemble du campement militaire et toute la défense du pays.
Or, s’il en est ainsi pour des instructions données par des hommes de chair et d’os, combien plus est-ce le cas pour les Injonctions du Chef d’état major de toute la création, le Roi, Roi suprême, le Saint béni soit-Il. Il est bien sûr inutile d’en dire plus. Je vous adresse ma bénédiction pour connaître la réussite en tout cela, l’idée essentielle étant de raffermir son propre comportement, en “ s’humectant au point d’humecter les autres ”. Et, rien ne résiste à la volonté. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
N. B. : A l’avenir, vous continuerez sûrement à m’adresser ce que vous publiez. Je vous en remercie d’avance.
Notes
(1) Le Rav I. Ziv, de Port Bragg.
(2) Voir, à son sujet, la lettre n°6743.