Lettre n° 6719
Par la grâce de D.ieu,
11 Adar Richon 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mardi, dans laquelle vous m’interrogez sur les coutumes des ‘Hassidim et sur leurs explications, sur leur origine. Il est bien évident que la réponse à de telles questions ne peut pas être donnée dans le cadre épistolaire, d’autant que cela serait inutile, puisqu’il y a plusieurs ‘Hassidim dans votre ville et des livres qui ont déjà été publiés sur ce sujet. Vous vous adresserez donc aux ‘Hassidim de votre ville et vous consulterez ces livres. De la sorte, vous trouverez ce que vous cherchez. Et, je saisis cette occasion pour vous souligner que la ‘Hassidout est bien une partie de notre Torah, Torah de vie.
Nos Sages soulignent que l’on peut recevoir tout ce qui concerne la Torah en mettant en pratique le principe selon lequel : “ Nous ferons et (ensuite) nous comprendrons ”, ainsi qu’il est dit : “ l’intégrité de ceux qui sont droits les guide et les falsifications de ceux qui se révoltent leur causent du tort ”, comme l’explique le traité Chabbat 88a, que vous consulterez. Il en est de même pour toutes les parties de notre Torah, pour son sens simple, pour son sens allusif, pour son sens analytique et pour son sens ésotérique. C’est uniquement après cette introduction que D.ieu accorde le succès grâce auquel “ l’intégrité de ceux qui sont droits les guide ”.
J’espère que vous avez un temps fixé pour l’étude de la ‘Hassidout et que vous connaissez le dicton de l’Admour Hazaken, qui est également un enseignement, selon lequel une telle fixation doit être non seulement dans le temps, mais aussi et même surtout dans l’esprit. Conformément à la décision hala’hique bien connue, “ ce qui est fixé ne peut pas être annulé ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
11 Adar Richon 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mardi, dans laquelle vous m’interrogez sur les coutumes des ‘Hassidim et sur leurs explications, sur leur origine. Il est bien évident que la réponse à de telles questions ne peut pas être donnée dans le cadre épistolaire, d’autant que cela serait inutile, puisqu’il y a plusieurs ‘Hassidim dans votre ville et des livres qui ont déjà été publiés sur ce sujet. Vous vous adresserez donc aux ‘Hassidim de votre ville et vous consulterez ces livres. De la sorte, vous trouverez ce que vous cherchez. Et, je saisis cette occasion pour vous souligner que la ‘Hassidout est bien une partie de notre Torah, Torah de vie.
Nos Sages soulignent que l’on peut recevoir tout ce qui concerne la Torah en mettant en pratique le principe selon lequel : “ Nous ferons et (ensuite) nous comprendrons ”, ainsi qu’il est dit : “ l’intégrité de ceux qui sont droits les guide et les falsifications de ceux qui se révoltent leur causent du tort ”, comme l’explique le traité Chabbat 88a, que vous consulterez. Il en est de même pour toutes les parties de notre Torah, pour son sens simple, pour son sens allusif, pour son sens analytique et pour son sens ésotérique. C’est uniquement après cette introduction que D.ieu accorde le succès grâce auquel “ l’intégrité de ceux qui sont droits les guide ”.
J’espère que vous avez un temps fixé pour l’étude de la ‘Hassidout et que vous connaissez le dicton de l’Admour Hazaken, qui est également un enseignement, selon lequel une telle fixation doit être non seulement dans le temps, mais aussi et même surtout dans l’esprit. Conformément à la décision hala’hique bien connue, “ ce qui est fixé ne peut pas être annulé ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,