Lettre n° 6711
Par la grâce de D.ieu,
4 Adar Richon 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 20 Chevat, dans laquelle vous me décrivez brièvement votre vie. Vous la concluez en me posant les questions suivantes :
A) Comment se défaire de la paresse ? Vous méditerez à ce que dit le saint Tanya, au début du chapitre 41, depuis la page 56a jusqu’à la page 56b, à l’expression : “ le Roi ”. Mieux encore, vous apprendrez ce texte par cœur. Vous le réviserez, dans le texte, de temps à autre, oralement ou tout au moins par la pensée. Si tout cela est gravé dans votre cerveau et dans votre cœur, il est certain que vous renforcerez votre empressement.
B) Comment l’emporter sur votre mauvais penchant, qui est grand et fort ? Nos Sages enseignent que “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec félonie envers Ses créatures ”. Le résultat est donc à la mesure de l’effort et, en toute situation à laquelle l’homme est confronté, les forces et les moyens lui sont accordés pour être le vainqueur. Pour autant, il est nécessaire de réfléchir afin de ne pas vous décourager, lorsque le mauvais penchant vous attaque de façon répétée. Cette réflexion est définie par plusieurs passages du saint Tanya et vous consulterez son index, qui figure dans la version parue aux éditions Kehot. Vous l’étudierez, en particulier, à partir du chapitre 27.
De façon générale, il est bon de suivre, avec fermeté, la voie royale, celle du Roi du monde, le Saint béni soit-Il, Qui donne la Torah et ordonne les Mitsvot. Pour cela, il faut faire preuve d’empressement, qualité qui découle de la joie, de l’ouverture du cœur et de la pureté, comme l’explique, en particulier, le chapitre 26 du Tanya. Vous en avez reçu l’Injonction et il est donc certain que vous en avez les moyens. J’espère que vous avez connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Vous vous efforcerez de les adopter, à l’avenir, bien entendu sans en faire le vœu. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
4 Adar Richon 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 20 Chevat, dans laquelle vous me décrivez brièvement votre vie. Vous la concluez en me posant les questions suivantes :
A) Comment se défaire de la paresse ? Vous méditerez à ce que dit le saint Tanya, au début du chapitre 41, depuis la page 56a jusqu’à la page 56b, à l’expression : “ le Roi ”. Mieux encore, vous apprendrez ce texte par cœur. Vous le réviserez, dans le texte, de temps à autre, oralement ou tout au moins par la pensée. Si tout cela est gravé dans votre cerveau et dans votre cœur, il est certain que vous renforcerez votre empressement.
B) Comment l’emporter sur votre mauvais penchant, qui est grand et fort ? Nos Sages enseignent que “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec félonie envers Ses créatures ”. Le résultat est donc à la mesure de l’effort et, en toute situation à laquelle l’homme est confronté, les forces et les moyens lui sont accordés pour être le vainqueur. Pour autant, il est nécessaire de réfléchir afin de ne pas vous décourager, lorsque le mauvais penchant vous attaque de façon répétée. Cette réflexion est définie par plusieurs passages du saint Tanya et vous consulterez son index, qui figure dans la version parue aux éditions Kehot. Vous l’étudierez, en particulier, à partir du chapitre 27.
De façon générale, il est bon de suivre, avec fermeté, la voie royale, celle du Roi du monde, le Saint béni soit-Il, Qui donne la Torah et ordonne les Mitsvot. Pour cela, il faut faire preuve d’empressement, qualité qui découle de la joie, de l’ouverture du cœur et de la pureté, comme l’explique, en particulier, le chapitre 26 du Tanya. Vous en avez reçu l’Injonction et il est donc certain que vous en avez les moyens. J’espère que vous avez connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Vous vous efforcerez de les adopter, à l’avenir, bien entendu sans en faire le vœu. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,