Lettre n° 6581
Par la grâce de D.ieu,
6 Kislev 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre de ce mercredi, m’apprenant une bonne nouvelle, puisque vous me dites que vous avez obtenu le paiement de dédommagements. Puisque vous me communiquez de bonnes nouvelles de ce qui est intrinsèquement matériel, D.ieu vous permettra d’en faire de même pour ce qui est spirituel. Vous ferez également référence à ce qui est la finalité de la descente de l’âme ici-bas, c’est-à-dire la transformation de la matière en réceptacle pour la spiritualité, jusqu’à l’apparition de la récompense du monde futur, que l’âme obtiendra au sein du corps ou, plus généralement, que le spirituel recevra du matériel. En conséquence de tout cela, je dois constater que le début de votre lettre ne me convient pas. En effet, vous me dites que vous avez reçu tel montant, acheté telles machines, versé un premier paiement pour une maison, pour laquelle vous espérez obtenir un prêt. Et, vous ne me dites rien d’autre, à ce sujet.
Puisse donc D.ieu faire que votre prochaine lettre soit rédigée de la façon suivante. Vous avez reçu tel montant et, bien évidemment, vous en avez aussitôt prélevé une partie pour la Tsédaka. Comme l’explique Iguéret Ha Kodech, d’après une décision de nos Sages, vous ferez même un ajout à ce prélèvement et vous serez prêt à en faire d’autres encore. Néanmoins, il est dit que : “ quatre cinquièmes seront pour vous ”, comme l’explique le Likouteï Torah, Chir Hachirim, à la page 6d. C’est donc sur le restant que vous achèterez une machine ou bien que vous verserez un premier paiement. J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, que vous diffusez la pratique consistant à lire tous les Tehilim, avant la prière, pendant le Chabbat qui bénit le mois. Puisse D.ieu faire que dix personnes se réunissent bientôt pour cette lecture. Comme l’explique Iguéret Ha Kodech, au chapitre 23, pour chaque pratique appartenant au domaine de la sainteté, il est important que dix personnes se réunissent. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
6 Kislev 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre de ce mercredi, m’apprenant une bonne nouvelle, puisque vous me dites que vous avez obtenu le paiement de dédommagements. Puisque vous me communiquez de bonnes nouvelles de ce qui est intrinsèquement matériel, D.ieu vous permettra d’en faire de même pour ce qui est spirituel. Vous ferez également référence à ce qui est la finalité de la descente de l’âme ici-bas, c’est-à-dire la transformation de la matière en réceptacle pour la spiritualité, jusqu’à l’apparition de la récompense du monde futur, que l’âme obtiendra au sein du corps ou, plus généralement, que le spirituel recevra du matériel. En conséquence de tout cela, je dois constater que le début de votre lettre ne me convient pas. En effet, vous me dites que vous avez reçu tel montant, acheté telles machines, versé un premier paiement pour une maison, pour laquelle vous espérez obtenir un prêt. Et, vous ne me dites rien d’autre, à ce sujet.
Puisse donc D.ieu faire que votre prochaine lettre soit rédigée de la façon suivante. Vous avez reçu tel montant et, bien évidemment, vous en avez aussitôt prélevé une partie pour la Tsédaka. Comme l’explique Iguéret Ha Kodech, d’après une décision de nos Sages, vous ferez même un ajout à ce prélèvement et vous serez prêt à en faire d’autres encore. Néanmoins, il est dit que : “ quatre cinquièmes seront pour vous ”, comme l’explique le Likouteï Torah, Chir Hachirim, à la page 6d. C’est donc sur le restant que vous achèterez une machine ou bien que vous verserez un premier paiement. J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, que vous diffusez la pratique consistant à lire tous les Tehilim, avant la prière, pendant le Chabbat qui bénit le mois. Puisse D.ieu faire que dix personnes se réunissent bientôt pour cette lecture. Comme l’explique Iguéret Ha Kodech, au chapitre 23, pour chaque pratique appartenant au domaine de la sainteté, il est important que dix personnes se réunissent. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,