Lettre n° 6422
Par la grâce de D.ieu,
27 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec retard, votre lettre, dans laquelle vous me dites qu’il serait peut-être judicieux de trouver un bon parti à votre fils. Or, d’après ce que j’ai pu observer chez les jeunes gens, ici-même ou ailleurs, quand on commence à leur parler de tout cela, ils en sont aussitôt troublés, parfois inutilement puisqu’un certain temps s’écoule encore avant que l’on ne trouve une proposition convenable et que l’on puisse envisager les choses d’une manière concrète.
Compte tenu du jeune âge de votre fils, ce risque est encore plus fort et, de ce fait, lorsque, comme vous le dites, viendra le moment de penser effectivement au mariage et se présentera une proposition concrète, il faudra, à mon avis, se demander si l’on doit lui en parler aussitôt.
27 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec retard, votre lettre, dans laquelle vous me dites qu’il serait peut-être judicieux de trouver un bon parti à votre fils. Or, d’après ce que j’ai pu observer chez les jeunes gens, ici-même ou ailleurs, quand on commence à leur parler de tout cela, ils en sont aussitôt troublés, parfois inutilement puisqu’un certain temps s’écoule encore avant que l’on ne trouve une proposition convenable et que l’on puisse envisager les choses d’une manière concrète.
Compte tenu du jeune âge de votre fils, ce risque est encore plus fort et, de ce fait, lorsque, comme vous le dites, viendra le moment de penser effectivement au mariage et se présentera une proposition concrète, il faudra, à mon avis, se demander si l’on doit lui en parler aussitôt.