Lettre n° 6130
Par la grâce de D.ieu,
22 Adar 5718,
Brooklyn,
Au jeune Yossef Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du début d’Adar. Vous évoquez l’usage relatif au Kaddish des Sages, dans lequel on ajoute, en Terre Sainte ou bien dans la ville sainte de Jérusalem, le mot Kadicha, saint. J’ai déjà écrit(2) qu’à ce propos, il convient de rechercher l’origine de cette pratique et sa source. Bien entendu, il faut le faire sur place.
J’ai pris connaissance avec plaisir, par votre lettre, de l’institution d’un enseignement du Tanya, que vous développez puisque vous donnez vous-même ce cours. Sans doute révisez-vous plusieurs fois le passage que vous devez enseigner, conformément à l’instruction de nos Sages, en la matière. Puisse D.ieu faire que le mérite de ce qui est public vous vienne en aide, afin de connaître la réussite dans l’étude qui, selon l’expression de nos Sages, doit “ conduire à l’action ”. Vous multiplierez largement le nombre de ceux qui participent à de telles études. Et, rien ne résiste à la volonté, surtout en la présente période du talon du Machia’h, dernier moment pour mettre en pratique l’Injonction de diffuser les sources(3) à l’extérieur. C’est une évidence.
Vous me faites part de votre anniversaire. Vous avez sûrement respecté les coutumes des ‘Hassidim, en ce jour, qui est propice pour avoir une année fructueuse, que vous consacrerez à l’étude de la Torah avec crainte de D.ieu et à la pratique des Mitsvot de la meilleure façon, ce qui inclut la prière fervente, colonne vertébrale soutenant toute la stature de l’homme, comme l’explique le Likouteï Torah, dans le livre de Bamidbar, à la page 70d.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Y. T. Segal, de Jérusalem.
(2) Il s’agit de la lettre n°4867.
(3) De la ‘Hassidout.
22 Adar 5718,
Brooklyn,
Au jeune Yossef Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du début d’Adar. Vous évoquez l’usage relatif au Kaddish des Sages, dans lequel on ajoute, en Terre Sainte ou bien dans la ville sainte de Jérusalem, le mot Kadicha, saint. J’ai déjà écrit(2) qu’à ce propos, il convient de rechercher l’origine de cette pratique et sa source. Bien entendu, il faut le faire sur place.
J’ai pris connaissance avec plaisir, par votre lettre, de l’institution d’un enseignement du Tanya, que vous développez puisque vous donnez vous-même ce cours. Sans doute révisez-vous plusieurs fois le passage que vous devez enseigner, conformément à l’instruction de nos Sages, en la matière. Puisse D.ieu faire que le mérite de ce qui est public vous vienne en aide, afin de connaître la réussite dans l’étude qui, selon l’expression de nos Sages, doit “ conduire à l’action ”. Vous multiplierez largement le nombre de ceux qui participent à de telles études. Et, rien ne résiste à la volonté, surtout en la présente période du talon du Machia’h, dernier moment pour mettre en pratique l’Injonction de diffuser les sources(3) à l’extérieur. C’est une évidence.
Vous me faites part de votre anniversaire. Vous avez sûrement respecté les coutumes des ‘Hassidim, en ce jour, qui est propice pour avoir une année fructueuse, que vous consacrerez à l’étude de la Torah avec crainte de D.ieu et à la pratique des Mitsvot de la meilleure façon, ce qui inclut la prière fervente, colonne vertébrale soutenant toute la stature de l’homme, comme l’explique le Likouteï Torah, dans le livre de Bamidbar, à la page 70d.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Y. T. Segal, de Jérusalem.
(2) Il s’agit de la lettre n°4867.
(3) De la ‘Hassidout.