Lettre n° 6042
Par la grâce de D.ieu,
8 Chevat 5718,
Brooklyn, New York,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Ephraïm Eliézer Ha Cohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je voudrais vous souligner la relation qui existe, en une progression du bas vers le haut, entre la veille du Chabbat, d’une part, puisqu’il est dit qu’un Chabbat doit nécessairement passer avant que l’on pratique la circoncision et le Chichi de la Paracha, d’autre part, que l’on doit étudier en ce jour, selon la pratique instaurée par mon beau-père, le Rabbi. Ce passage traite de la manne et il y a bien là une preuve de la sainteté du Chabbat, puisque celle-ci est retardée de ce fait. En outre, le Likouteï Torah, à la fin du discours ‘hassidique intitulé : “ Au chef de chantre, pour la huitième ” établit une relation entre cette idée et la personnalité de Yossef.
Il est dit, en effet, qu’il s’agit d’une “ petite reine sur laquelle s’appuie la circoncision, la grande reine ”. Il est souligné, en outre, que “ la circoncision est belle ” et le traité Nedarim précise ce que l’on peut déduire d’une formulation négative(2). De plus, “ les filles d’Israël sont belles ” précisément parce que “ une femme est considérée comme ayant reçu la circoncision(3) ”.
Notes
(1) Le Rav E. E. Yalles, de Philadelphie. Voir, à son sujet, la lettre n°5792.
(2) Soulignant que Moché fut puni pour avoir négligé la circoncision de ses enfants. On peut déduire, de manière positive, la récompense de celui qui la pratique.
(3) Depuis sa naissance, sans qu’aucune action ne soit nécessaire pour cela.
8 Chevat 5718,
Brooklyn, New York,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Ephraïm Eliézer Ha Cohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je voudrais vous souligner la relation qui existe, en une progression du bas vers le haut, entre la veille du Chabbat, d’une part, puisqu’il est dit qu’un Chabbat doit nécessairement passer avant que l’on pratique la circoncision et le Chichi de la Paracha, d’autre part, que l’on doit étudier en ce jour, selon la pratique instaurée par mon beau-père, le Rabbi. Ce passage traite de la manne et il y a bien là une preuve de la sainteté du Chabbat, puisque celle-ci est retardée de ce fait. En outre, le Likouteï Torah, à la fin du discours ‘hassidique intitulé : “ Au chef de chantre, pour la huitième ” établit une relation entre cette idée et la personnalité de Yossef.
Il est dit, en effet, qu’il s’agit d’une “ petite reine sur laquelle s’appuie la circoncision, la grande reine ”. Il est souligné, en outre, que “ la circoncision est belle ” et le traité Nedarim précise ce que l’on peut déduire d’une formulation négative(2). De plus, “ les filles d’Israël sont belles ” précisément parce que “ une femme est considérée comme ayant reçu la circoncision(3) ”.
Notes
(1) Le Rav E. E. Yalles, de Philadelphie. Voir, à son sujet, la lettre n°5792.
(2) Soulignant que Moché fut puni pour avoir négligé la circoncision de ses enfants. On peut déduire, de manière positive, la récompense de celui qui la pratique.
(3) Depuis sa naissance, sans qu’aucune action ne soit nécessaire pour cela.