Lettre n° 5779
Par la grâce de D.ieu,
4 Tichri 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, avec les demandes de bénédiction qu’elle contenait et qui seront lues, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Je suis surpris que vous ne m’écriviez que quelques mots, concernant votre mariage, alors qu’au cours de celui-ci est posée la fondation d’un édifice éternel, qu’il est un moment propice, que l’on est alors inspiré à la pratique de la Torah et des Mitsvot, conformément à la coutume juive. On y prononce des paroles de Torah et de ‘Hassidout. Je présume que vous avez effectivement répété de la ‘Hassidout(1), à cette occasion et que vous avez précisé l’enseignement qu’il convenait d’en tirer. Néanmoins, cette présomption est réduite par un aspect négatif, car certains ont l’usage d’en interrompre la récitation au milieu(2) et, à ma grande surprise, on trouve également des ‘Hassidim qui le font. Certes, il est dit que “ quand on se rend dans une cité, on en adopte les pratiques ”. Il y a pourtant, en la matière, une instruction de mon beau-père, le Rabbi, demandant d’en terminer la récitation, puis de la recommencer une seconde fois et de l’interrompre alors.
Vous me parlez de quelqu’un qui ne sait pas associer les lettres. Il faut, à ce propos, consulter un médecin spécialiste. Bien souvent, de telles personnes sont normalement développées, dans différents domaines, parfois même au dessus de la moyenne. Quand on leur apporte les moyens de se servir pleinement de leurs capacités, qui sont effectives, celles qui, pour l’heure, ne fonctionnent pas normalement se développent, peu à peu. Sans doute, cet homme donne-t-il quelques pièces à la Tsédaka, chaque jour, avant la prière du matin.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez définitivement inscrit pour une bonne année,
Notes
(1) La coutume des ‘Hassidim est de réciter, lors d’un mariage, le discours ‘hassidique que prononça le précédent Rabbi lors du mariage du Rabbi.
(2) De sorte qu’il n’est pas récité entièrement. Voir, à ce sujet, la lettre n°5872.
4 Tichri 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, avec les demandes de bénédiction qu’elle contenait et qui seront lues, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Je suis surpris que vous ne m’écriviez que quelques mots, concernant votre mariage, alors qu’au cours de celui-ci est posée la fondation d’un édifice éternel, qu’il est un moment propice, que l’on est alors inspiré à la pratique de la Torah et des Mitsvot, conformément à la coutume juive. On y prononce des paroles de Torah et de ‘Hassidout. Je présume que vous avez effectivement répété de la ‘Hassidout(1), à cette occasion et que vous avez précisé l’enseignement qu’il convenait d’en tirer. Néanmoins, cette présomption est réduite par un aspect négatif, car certains ont l’usage d’en interrompre la récitation au milieu(2) et, à ma grande surprise, on trouve également des ‘Hassidim qui le font. Certes, il est dit que “ quand on se rend dans une cité, on en adopte les pratiques ”. Il y a pourtant, en la matière, une instruction de mon beau-père, le Rabbi, demandant d’en terminer la récitation, puis de la recommencer une seconde fois et de l’interrompre alors.
Vous me parlez de quelqu’un qui ne sait pas associer les lettres. Il faut, à ce propos, consulter un médecin spécialiste. Bien souvent, de telles personnes sont normalement développées, dans différents domaines, parfois même au dessus de la moyenne. Quand on leur apporte les moyens de se servir pleinement de leurs capacités, qui sont effectives, celles qui, pour l’heure, ne fonctionnent pas normalement se développent, peu à peu. Sans doute, cet homme donne-t-il quelques pièces à la Tsédaka, chaque jour, avant la prière du matin.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez définitivement inscrit pour une bonne année,
Notes
(1) La coutume des ‘Hassidim est de réciter, lors d’un mariage, le discours ‘hassidique que prononça le précédent Rabbi lors du mariage du Rabbi.
(2) De sorte qu’il n’est pas récité entièrement. Voir, à ce sujet, la lettre n°5872.