Lettre n° 5763
Par la grâce de D.ieu,
26 Elloul 5717,
Brooklyn,
Au jeune Chimeon Moché(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une coupure particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre et la demande de bénédiction qu’elle contenait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Bien que vous n’en parliez pas, je suis certain qu’en plus de votre participation à la réunion ‘hassidique, vous avez également un temps fixé pour l’étude de la ‘Hassidout. Vous connaissez sûrement le dicton de l’Admour Hazaken selon lequel cette fixation doit être non seulement dans le temps, mais aussi et avant tout, dans l’âme. Or, rien ne résiste à la détermination. Il serait bon d’en faire de même en tout endroit où vous exercez votre influence. Ainsi, le mérite de ce qui est public vous viendra en aide. En effet, chacun a besoin de la bénédiction du Saint béni soit-Il, avec son intérêt qui dépasse le capital, surtout quand on s’apprête, dans l’avenir immédiat, à bâtir un foyer juif, un édifice éternel.
A l’occasion de la nouvelle année, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse, par la présente, à vous et à tous les vôtres, ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Vous faites référence à la mesure de deux doigts, qui doit être celle du boîtier des Tefillin, la bordure non comprise(2). Vous consulterez, à ce sujet, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, chapitre 32, paragraphe 63, qui dit : “ Les boîtiers… mais la bordure… les boîtiers doivent avoir deux doigts de côté ”, le Peri Megadim, chapitre 1, paragraphe 156, sur lequel s’interroge le Ot ‘Haïm, au paragraphe 119, le Roch, cité par le Tour : “ on prendra une presse… de deux doigts ”, comme le note le Ot ‘Haïm, à la fin du paragraphe 100, les responsa Beth Chéarim, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 28, dont je ne dispose pas.
Notes
(1) C. M. Diskin, de Bneï Brak.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3745.
26 Elloul 5717,
Brooklyn,
Au jeune Chimeon Moché(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une coupure particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre et la demande de bénédiction qu’elle contenait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Bien que vous n’en parliez pas, je suis certain qu’en plus de votre participation à la réunion ‘hassidique, vous avez également un temps fixé pour l’étude de la ‘Hassidout. Vous connaissez sûrement le dicton de l’Admour Hazaken selon lequel cette fixation doit être non seulement dans le temps, mais aussi et avant tout, dans l’âme. Or, rien ne résiste à la détermination. Il serait bon d’en faire de même en tout endroit où vous exercez votre influence. Ainsi, le mérite de ce qui est public vous viendra en aide. En effet, chacun a besoin de la bénédiction du Saint béni soit-Il, avec son intérêt qui dépasse le capital, surtout quand on s’apprête, dans l’avenir immédiat, à bâtir un foyer juif, un édifice éternel.
A l’occasion de la nouvelle année, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse, par la présente, à vous et à tous les vôtres, ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Vous faites référence à la mesure de deux doigts, qui doit être celle du boîtier des Tefillin, la bordure non comprise(2). Vous consulterez, à ce sujet, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, chapitre 32, paragraphe 63, qui dit : “ Les boîtiers… mais la bordure… les boîtiers doivent avoir deux doigts de côté ”, le Peri Megadim, chapitre 1, paragraphe 156, sur lequel s’interroge le Ot ‘Haïm, au paragraphe 119, le Roch, cité par le Tour : “ on prendra une presse… de deux doigts ”, comme le note le Ot ‘Haïm, à la fin du paragraphe 100, les responsa Beth Chéarim, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 28, dont je ne dispose pas.
Notes
(1) C. M. Diskin, de Bneï Brak.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3745.