Lettre n° 5755
Par la grâce de D.ieu,
19 Elloul 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat et je suis surpris que vous ne me confirmiez pas avoir reçu la mienne, qui était la réponse à votre précédent courrier. J’ai, toutefois, bon espoir que vous avez pleinement mis en pratique l’enseignement de l’Admour Hazaken et que vous n’avez pas suivi les avances du malin(1). Vous connaissez le dicton du Rabbi(2), père de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel le mauvais penchant se revêt parfois d’une redingote de soie. Vous consulterez également le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan(3).
La question que vous me posez, dans cette lettre, est, en effet, surprenante. Vous me dites que, dans la mesure où il existe une Mitsva de Yeboum(4), vous ne comprenez pas pourquoi, s’il s’agit d’un homme âgé et d’une jeune femme, on lui conseille d’épouser quelqu’un qui a un âge en rapport, modifiant ainsi la Volonté de D.ieu. Or, il n’y a là aucune modification, car, en cas de Yeboum, quand les âges ne correspondent pas, le Saint béni soit-Il Lui-même souhaite que l’homme cherche une femme ayant un âge en rapport. C’est comme si vous demandiez pourquoi une Injonction repousserait-elle un Interdit, pourquoi un cas de danger repousserait-il le Chabbat et pourquoi l’on modifie ainsi les Préceptes du Saint béni soit-Il. On peut citer un très grand nombre d’exemples.
Sans doute, à l’avenir, adopterez-vous les études de ‘Hitat, ‘Houmach, Tehilim et Tanya, s’ajoutant à vos autres études de la Torah, en général.
Avec ma bénédiction afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Du mauvais penchant.
(2) Rachab. Voir, à ce sujet, la lettre n°2887.
(3) Voir la lettre précédente.
(4) Faisant obligation à la veuve sans enfant d’épouser le frère de son défunt mari, afin qu’un fils de son frère perpétue sa descendance.
19 Elloul 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat et je suis surpris que vous ne me confirmiez pas avoir reçu la mienne, qui était la réponse à votre précédent courrier. J’ai, toutefois, bon espoir que vous avez pleinement mis en pratique l’enseignement de l’Admour Hazaken et que vous n’avez pas suivi les avances du malin(1). Vous connaissez le dicton du Rabbi(2), père de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel le mauvais penchant se revêt parfois d’une redingote de soie. Vous consulterez également le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan(3).
La question que vous me posez, dans cette lettre, est, en effet, surprenante. Vous me dites que, dans la mesure où il existe une Mitsva de Yeboum(4), vous ne comprenez pas pourquoi, s’il s’agit d’un homme âgé et d’une jeune femme, on lui conseille d’épouser quelqu’un qui a un âge en rapport, modifiant ainsi la Volonté de D.ieu. Or, il n’y a là aucune modification, car, en cas de Yeboum, quand les âges ne correspondent pas, le Saint béni soit-Il Lui-même souhaite que l’homme cherche une femme ayant un âge en rapport. C’est comme si vous demandiez pourquoi une Injonction repousserait-elle un Interdit, pourquoi un cas de danger repousserait-il le Chabbat et pourquoi l’on modifie ainsi les Préceptes du Saint béni soit-Il. On peut citer un très grand nombre d’exemples.
Sans doute, à l’avenir, adopterez-vous les études de ‘Hitat, ‘Houmach, Tehilim et Tanya, s’ajoutant à vos autres études de la Torah, en général.
Avec ma bénédiction afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Du mauvais penchant.
(2) Rachab. Voir, à ce sujet, la lettre n°2887.
(3) Voir la lettre précédente.
(4) Faisant obligation à la veuve sans enfant d’épouser le frère de son défunt mari, afin qu’un fils de son frère perpétue sa descendance.