Lettre n° 5681

Par la grâce de D.ieu,
26 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 23 Mena’hem Av, dans laquelle vous me dites ce que vous avez vécu. Vous concluez en me demandant une bénédiction pour trouver un bon parti, qui vous convienne. En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.

Il faut demander à un Rav si vous ne devez pas, pour votre part, demander pardon, en présence de dix personnes, à la femme dont vous avez divorcé, puisse-t-elle reposer en paix. En effet, de façon générale, quand il y a un désaccord et surtout une séparation, les deux parties en portent la responsabilité. Bien plus, il y a peut-être eu, de votre part, un comportement, envers elle, qui allait à l’encontre de la Hala’ha et de la pudeur.

Vous connaissez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Tout au moins les adopterez-vous, à l’avenir.

Avec ma bénédiction,

Pour le Rabbi Chlita,