Lettre n° 5669
Par la grâce de D.ieu,
23 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav, distingué ‘Hassid qui
craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel Mena’hem Mendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 15 Mena’hem Av, qui faisait suite à une longue interruption. Vous me précisez tout ce que vous avez fait pendant cette période.
J’ai déjà écrit(2) à quelques personnes actives parmi les jeunes de l’association ‘Habad qu’il n’est pas bon, pour différentes raisons, de constituer une association, distincte du cadre des jeunes de l’association ‘Habad, pour chaque type d’actions. De différents points de vue, il est nécessaire de concentrer les activités, même si, bien entendu, celles-ci peuvent être autonomes, dans la mesure de ce qui est nécessaire pour qu’elles soient efficaces et, le cas échéant, pour qu’elles soient menées par des personnes compétentes et pour préserver les relations qu’il doit y avoir entre elles, afin que leur collaboration soit satisfaisante. Néanmoins, il doit y avoir une direction unique, au moins de manière apparente, dans l’intérêt des actions menées dans ce domaine.
Vous mentionnez, dans votre précédente lettre, l’action que vous menez auprès des nouveaux immigrants, qui sont déjà Bar Mitsva. Je vous reproduis donc ici ce que j’ai écrit à quelqu’un(3), à ce propos. Il serait bon, en la matière, de consulter les Rabbanim locaux.
Avec ma bénédiction,
“ A ce propos, vous précisez que celui qui a été circoncis est déjà Bar Mitsva et que, de ce fait, on lui a administré, avant la circoncision, un liquide anesthésiant, ce qui veut dire qu’il y a eu une anesthésie générale. Il faudrait consulter un Rav tranchant la Hala’ha, à ce sujet. En effet, il est possible de faire une injection à proximité, en général dans le dos ou dans la colonne vertébrale, qui a pour effet de retirer toute sensibilité pendant quelques temps. Pour autant, il ne s’agit pas d’une anesthésie et l’homme conserve toutes ses facultés, de sorte qu’il est astreint à la pratique des Mitsvot. Vous comprenez bien la différence qu’il y a entre ces deux situations. ”
Notes
(1) Le Rav C. M. M. Schneerson, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5343.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°3448 et 3478.
(3) Voir la lettre précédente
23 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav, distingué ‘Hassid qui
craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel Mena’hem Mendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 15 Mena’hem Av, qui faisait suite à une longue interruption. Vous me précisez tout ce que vous avez fait pendant cette période.
J’ai déjà écrit(2) à quelques personnes actives parmi les jeunes de l’association ‘Habad qu’il n’est pas bon, pour différentes raisons, de constituer une association, distincte du cadre des jeunes de l’association ‘Habad, pour chaque type d’actions. De différents points de vue, il est nécessaire de concentrer les activités, même si, bien entendu, celles-ci peuvent être autonomes, dans la mesure de ce qui est nécessaire pour qu’elles soient efficaces et, le cas échéant, pour qu’elles soient menées par des personnes compétentes et pour préserver les relations qu’il doit y avoir entre elles, afin que leur collaboration soit satisfaisante. Néanmoins, il doit y avoir une direction unique, au moins de manière apparente, dans l’intérêt des actions menées dans ce domaine.
Vous mentionnez, dans votre précédente lettre, l’action que vous menez auprès des nouveaux immigrants, qui sont déjà Bar Mitsva. Je vous reproduis donc ici ce que j’ai écrit à quelqu’un(3), à ce propos. Il serait bon, en la matière, de consulter les Rabbanim locaux.
Avec ma bénédiction,
“ A ce propos, vous précisez que celui qui a été circoncis est déjà Bar Mitsva et que, de ce fait, on lui a administré, avant la circoncision, un liquide anesthésiant, ce qui veut dire qu’il y a eu une anesthésie générale. Il faudrait consulter un Rav tranchant la Hala’ha, à ce sujet. En effet, il est possible de faire une injection à proximité, en général dans le dos ou dans la colonne vertébrale, qui a pour effet de retirer toute sensibilité pendant quelques temps. Pour autant, il ne s’agit pas d’une anesthésie et l’homme conserve toutes ses facultés, de sorte qu’il est astreint à la pratique des Mitsvot. Vous comprenez bien la différence qu’il y a entre ces deux situations. ”
Notes
(1) Le Rav C. M. M. Schneerson, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5343.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°3448 et 3478.
(3) Voir la lettre précédente