Lettre n° 5576
Par la grâce de D.ieu,
5 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 2 Tamouz, dans laquelle vous me faites part des changements intervenus dans votre classe. Pour différentes raisons, ceux-ci ne vous conviennent pas. Vous avez pris conseil auprès de quelques uns de ceux qui se trouvent à la Yechiva et de sa direction. Tous sont du même avis et vous me demandez ce que vous devez faire.
Il est bien évident que tout ce qui se passe à la Yechiva doit être conforme à la volonté de sa direction. En effet, la pérennité de chaque institution est conditionnée par la soumission à ceux qui la dirigent. En l’occurrence, vous devez exposer vos arguments à la direction. Vous l’avez sans doute déjà fait. Vous pourrez demander à ceux avec qui vous vous êtes concerté qu’ils s’adressent également à la direction. Néanmoins, tous ne peuvent que formuler des propositions. Car, concrètement, il faut obéir. Il y a là un principe fondamental.
Vous avez sûrement déjà reçu, il y a quelques temps, la réponse à votre précédente lettre.
Avec ma bénédiction de réussite et pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
5 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 2 Tamouz, dans laquelle vous me faites part des changements intervenus dans votre classe. Pour différentes raisons, ceux-ci ne vous conviennent pas. Vous avez pris conseil auprès de quelques uns de ceux qui se trouvent à la Yechiva et de sa direction. Tous sont du même avis et vous me demandez ce que vous devez faire.
Il est bien évident que tout ce qui se passe à la Yechiva doit être conforme à la volonté de sa direction. En effet, la pérennité de chaque institution est conditionnée par la soumission à ceux qui la dirigent. En l’occurrence, vous devez exposer vos arguments à la direction. Vous l’avez sans doute déjà fait. Vous pourrez demander à ceux avec qui vous vous êtes concerté qu’ils s’adressent également à la direction. Néanmoins, tous ne peuvent que formuler des propositions. Car, concrètement, il faut obéir. Il y a là un principe fondamental.
Vous avez sûrement déjà reçu, il y a quelques temps, la réponse à votre précédente lettre.
Avec ma bénédiction de réussite et pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,