Lettre n° 5520
Par la grâce de D.ieu,
15 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Sivan.
Vous m’interrogez sur les noms du marié et de son beau-père. Tous deux possèdent deux prénoms, mais l’un et l’autre ont, en commun, l’un de ces deux prénoms(1).
Vous connaissez la décision hala’hique de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h et celle de son petit-fils, le Tséma’h Tsédek, selon lesquelles il n’y a rien à craindre, en pareil cas. Vous consulterez les responsa du Tséma’h Tsédek, Even Ha Ezer, au chapitre 143 et les décisions hala’hiques du Tséma’h Tsédek, Choul’han Arou’h, Yoré Déa, au chapitre 116.
Vous m’en demandez la raison, car la femme appellera ainsi son mari du nom de son père(2). Plusieurs livres discutent ce point, mais le Rambam précise que ce principe s’applique uniquement pour un nom peu fréquent. A ce propos, vous consulterez les responsa Tsafnat Paanéa’h du Gaon de Ragatchov, au chapitre 128, tome 1 et le Otsar Ha Posskim, tome 1, à partir de la page 100.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°5442.
(2) Ce qui pourrait être interprété comme un manque de respect à son père.
15 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Sivan.
Vous m’interrogez sur les noms du marié et de son beau-père. Tous deux possèdent deux prénoms, mais l’un et l’autre ont, en commun, l’un de ces deux prénoms(1).
Vous connaissez la décision hala’hique de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h et celle de son petit-fils, le Tséma’h Tsédek, selon lesquelles il n’y a rien à craindre, en pareil cas. Vous consulterez les responsa du Tséma’h Tsédek, Even Ha Ezer, au chapitre 143 et les décisions hala’hiques du Tséma’h Tsédek, Choul’han Arou’h, Yoré Déa, au chapitre 116.
Vous m’en demandez la raison, car la femme appellera ainsi son mari du nom de son père(2). Plusieurs livres discutent ce point, mais le Rambam précise que ce principe s’applique uniquement pour un nom peu fréquent. A ce propos, vous consulterez les responsa Tsafnat Paanéa’h du Gaon de Ragatchov, au chapitre 128, tome 1 et le Otsar Ha Posskim, tome 1, à partir de la page 100.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°5442.
(2) Ce qui pourrait être interprété comme un manque de respect à son père.