Lettre n° 5501
Par la grâce de D.ieu,
10 Sivan 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel Mena’hem Mendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
En un moment propice, je citerai tous ceux que vous mentionnez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Il semble que l’on n’explique pas à ces personnes que, quand leur état s’améliore parce que leur nom a été cité devant le saint tombeau, elles doivent, bien entendu, en être inspirées et, en particulier, étudier l’enseignement, adopter les pratiques de celui qui repose en cet endroit. Et, si celui qui a reçu la bénédiction exerce son influence sur un groupe ou un milieu, il a également le devoir absolu de diffuser cet enseignement et ces pratiques, dans son entourage. C’est une évidence. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous vous consacriez à cela(2).
J’aimerais savoir de quelle manière il vous a été donné d’écrire et de mentionner le nom du fils de cette personne.
Vous me dites que, dans un Séfer Torah dont la bonne origine est établie, on peut observer, à l’évidence que le Aleph a été transformé en Hé(3). Il faut, bien évidemment, déterminer qui a effectué ce changement et quand il l’a fait. On sait qu’en Terre Sainte, il y a quelques années, des émissaires d’une certaine personne ont procédé de la sorte et, vraisemblablement, en différents endroits, l’ont fait discrètement. Je n’en ai eu moi-même connaissance que ces dernières années. Vous consulterez, à ce sujet, le Michnat Avraham, au chapitre 32, qui énumère ce qui figurait dans le Séfer Torah d’hommes d’une grande sainteté et non uniquement parmi ceux qui appartiennent à ‘Habad. Ceux-là inscrivaient également un Aleph. Vous verrez, en outre, ma lettre dans le Otsar Ha Posskim, à la fin du tome 1.
Sans doute avez-vous profité du temps du don de notre Torah pour diffuser les sources(4). Vous m’écrirez tout cela, avec tous les détails nécessaires.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav C. M. M. Schneersohn, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5343.
(2) A donner les explications nécessaires à ces personnes.
(3) Dans le mot Petsoua Daka. Voir, à ce sujet, les lettres n°4926 et 5502.
(4) De la ‘Hassidout.
10 Sivan 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel Mena’hem Mendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
En un moment propice, je citerai tous ceux que vous mentionnez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Il semble que l’on n’explique pas à ces personnes que, quand leur état s’améliore parce que leur nom a été cité devant le saint tombeau, elles doivent, bien entendu, en être inspirées et, en particulier, étudier l’enseignement, adopter les pratiques de celui qui repose en cet endroit. Et, si celui qui a reçu la bénédiction exerce son influence sur un groupe ou un milieu, il a également le devoir absolu de diffuser cet enseignement et ces pratiques, dans son entourage. C’est une évidence. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous vous consacriez à cela(2).
J’aimerais savoir de quelle manière il vous a été donné d’écrire et de mentionner le nom du fils de cette personne.
Vous me dites que, dans un Séfer Torah dont la bonne origine est établie, on peut observer, à l’évidence que le Aleph a été transformé en Hé(3). Il faut, bien évidemment, déterminer qui a effectué ce changement et quand il l’a fait. On sait qu’en Terre Sainte, il y a quelques années, des émissaires d’une certaine personne ont procédé de la sorte et, vraisemblablement, en différents endroits, l’ont fait discrètement. Je n’en ai eu moi-même connaissance que ces dernières années. Vous consulterez, à ce sujet, le Michnat Avraham, au chapitre 32, qui énumère ce qui figurait dans le Séfer Torah d’hommes d’une grande sainteté et non uniquement parmi ceux qui appartiennent à ‘Habad. Ceux-là inscrivaient également un Aleph. Vous verrez, en outre, ma lettre dans le Otsar Ha Posskim, à la fin du tome 1.
Sans doute avez-vous profité du temps du don de notre Torah pour diffuser les sources(4). Vous m’écrirez tout cela, avec tous les détails nécessaires.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav C. M. M. Schneersohn, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5343.
(2) A donner les explications nécessaires à ces personnes.
(3) Dans le mot Petsoua Daka. Voir, à ce sujet, les lettres n°4926 et 5502.
(4) De la ‘Hassidout.