Lettre n° 5497
Par la grâce de D.ieu,
Veille de Chavouot 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du jour au cours duquel fut dit, deux fois, le mot “ bon ”(1) de la Parchat Nasso. J’y ai lu avec plaisir qu’au début de ce mois, votre commerce a marqué une petite reprise. Puisse D.ieu faire qu’il y ait là un bon début pour un développement ultérieur, qui augmentera vos moyens, au sens littéral, selon la nécessité et vous conférera également la largesse d’esprit, afin qu’il vous soit plus aisé de servir D.ieu avec joie et enthousiasme, comme le verset(2) nous en fait obligation.
Bien plus, la fête de Chavouot approche et, comme vous le savez, la ‘Hassidout explique que l’anneau de mariage donné par le Saint béni soit-Il à Israël, lors de leur union, près du mont Sinaï, fut les biens matériels, l’opulence, enfants, santé et prospérité.
Vous exprimez votre surprise devant ma réponse(3) et vous dites, selon l’expression courante, que vous connaissez également une adresse(4). Bien entendu, mon but n’était pas de jouer le rôle de carnet d’adresses, mais plutôt de vous indiquer un moyen de mieux gagner votre vie. Or, je dois définir ce moyen tel que je le vois moi-même et non tel qu’un autre voudrait que je le vois, à travers ses yeux.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de mon beau-père, le Rabbi, afin de recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Je vous joins un reçu du département des réalisations discrètes.
Notes
(1) Lors de la création, le mardi.
(2) “ Servez D.ieu dans la joie ”.
(3) Le destinataire de cette lettre demandait une bénédiction pour mieux gagner sa vie et le Rabbi lui indiquait un moyen concret d’y parvenir.
(4) Pour obtenir la bénédiction.
Veille de Chavouot 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du jour au cours duquel fut dit, deux fois, le mot “ bon ”(1) de la Parchat Nasso. J’y ai lu avec plaisir qu’au début de ce mois, votre commerce a marqué une petite reprise. Puisse D.ieu faire qu’il y ait là un bon début pour un développement ultérieur, qui augmentera vos moyens, au sens littéral, selon la nécessité et vous conférera également la largesse d’esprit, afin qu’il vous soit plus aisé de servir D.ieu avec joie et enthousiasme, comme le verset(2) nous en fait obligation.
Bien plus, la fête de Chavouot approche et, comme vous le savez, la ‘Hassidout explique que l’anneau de mariage donné par le Saint béni soit-Il à Israël, lors de leur union, près du mont Sinaï, fut les biens matériels, l’opulence, enfants, santé et prospérité.
Vous exprimez votre surprise devant ma réponse(3) et vous dites, selon l’expression courante, que vous connaissez également une adresse(4). Bien entendu, mon but n’était pas de jouer le rôle de carnet d’adresses, mais plutôt de vous indiquer un moyen de mieux gagner votre vie. Or, je dois définir ce moyen tel que je le vois moi-même et non tel qu’un autre voudrait que je le vois, à travers ses yeux.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de mon beau-père, le Rabbi, afin de recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Je vous joins un reçu du département des réalisations discrètes.
Notes
(1) Lors de la création, le mardi.
(2) “ Servez D.ieu dans la joie ”.
(3) Le destinataire de cette lettre demandait une bénédiction pour mieux gagner sa vie et le Rabbi lui indiquait un moyen concret d’y parvenir.
(4) Pour obtenir la bénédiction.