Lettre n° 5487
Par la grâce de D.ieu,
28 Iyar 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Israël(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Iyar, avec ce qu’elle contenait. Vous trouverez sûrement les mots pour expliquer à cet homme prétendant qu’il ne peut pas étudier actuellement parce qu’il souffre, qu’il est dans la situation de celui qui dirait qu’il ne peut pas prendre des médicaments, parce qu’il est malade.
En effet, nos Sages disent que la Torah apporte la guérison au monde et ils affirment que “ celui qui a mal à la tête ou bien au corps doit se consacrer à la Torah ”. Certes, il est difficile de mener une étude profonde, lorsque le corps souffre. Il faut, pourtant, s’efforcer de le faire ou, tout au moins, de maintenir une étude, même moins profonde et, en tout état de cause, les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez de bonnes nouvelles, à ce sujet. Vous me direz que vos propos ont émané de votre cœur et qu’ils sont entrés dans le sien, qu’ils ont eu un effet concret.
Très prochainement, vous me donnerez également de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement. En effet, vous avez d’ores et déjà fait une intervention naturelle(2) en allant consulter un médecin. Certes, celui-ci vous a dit qu’il faudra attendre longtemps. Mais, il est clair que ce n’est pas le cas. En effet, nos Sages expliquent(3) que : “ le médecin a été autorisé à guérir ”, mais non à repousser ultérieurement cette guérison, ce qu’à D.ieu ne plaise. J’attends de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah avec joie et de manière profonde, de même que pour votre réussite conjointe dans le centre aéré,
Notes
(1) Le Rav I. Gordon, de Worcester. Voir, à son sujet, la lettre n°5562.
(2) Pour obtenir la bénédiction de D.ieu.
(3) Commentant la formule répétitive de la Torah : “ Guérir, il guérira ”.
28 Iyar 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Israël(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Iyar, avec ce qu’elle contenait. Vous trouverez sûrement les mots pour expliquer à cet homme prétendant qu’il ne peut pas étudier actuellement parce qu’il souffre, qu’il est dans la situation de celui qui dirait qu’il ne peut pas prendre des médicaments, parce qu’il est malade.
En effet, nos Sages disent que la Torah apporte la guérison au monde et ils affirment que “ celui qui a mal à la tête ou bien au corps doit se consacrer à la Torah ”. Certes, il est difficile de mener une étude profonde, lorsque le corps souffre. Il faut, pourtant, s’efforcer de le faire ou, tout au moins, de maintenir une étude, même moins profonde et, en tout état de cause, les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez de bonnes nouvelles, à ce sujet. Vous me direz que vos propos ont émané de votre cœur et qu’ils sont entrés dans le sien, qu’ils ont eu un effet concret.
Très prochainement, vous me donnerez également de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement. En effet, vous avez d’ores et déjà fait une intervention naturelle(2) en allant consulter un médecin. Certes, celui-ci vous a dit qu’il faudra attendre longtemps. Mais, il est clair que ce n’est pas le cas. En effet, nos Sages expliquent(3) que : “ le médecin a été autorisé à guérir ”, mais non à repousser ultérieurement cette guérison, ce qu’à D.ieu ne plaise. J’attends de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah avec joie et de manière profonde, de même que pour votre réussite conjointe dans le centre aéré,
Notes
(1) Le Rav I. Gordon, de Worcester. Voir, à son sujet, la lettre n°5562.
(2) Pour obtenir la bénédiction de D.ieu.
(3) Commentant la formule répétitive de la Torah : “ Guérir, il guérira ”.