Lettre n° 5481
Par la grâce de D.ieu,
25 Iyar 5717,
Brooklyn,
A monsieur Yossef Alter, qui est appelé docteur Tumarkin,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, élève de la Yechiva Tom’heï Temimim, ‘Hano’h Hendel Libermann et également par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, se consacre aux besoins communautaires, aux multiples accomplissements, le Rav Avraham Dov Kremer. Ceux-ci m’ont également fait part de votre état de santé.
En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une meilleure santé. Bien plus, vous avez eu le mérite d’être un élève de la Yechiva Tom’heï Temimim. Or, rien ne se perd, matériellement et, a fortiori, spirituellement, d’autant que nos saints maîtres, dont le mérite nous protégera, ont investi tant de forces dans cette Yechiva.
Il est donc une certitude qu’encore à l’heure actuelle, ils invoquent la profonde miséricorde divine, pour chacun de ses élèves, en tous leurs besoins, en particulier pour leur santé physique et morale. On connaît l’affirmation de nos saints maîtres établissant une relation entre les deux cent quarante huit membres de l’homme et les deux cent quarante huit Injonctions, d’une part, les trois cent soixante cinq nerfs et les trois cent soixante cinq Interdits, d’autre part. Vous êtes vous-même médecin et il est donc sûrement inutile de vous souligner que, si un membre du corps n’est pas comme il doit l’être, il ne faut pas se désespérer de le guérir. Combien plus en est-il ainsi, en spirituel.
Il faut ajouter, comme le précise l’Admour Hazaken, qu’il existe des déficiences de santé physique que l’on ne sait pas traiter. En revanche, il n’en est pas de même spirituellement. Moralement, il n’est rien qui ne puisse être guéri. Bien plus, le traitement peut même conduire à une situation similaire à celle que l’on aurait eu si l’affection ne s’était jamais manifestée. Or, rien ne résiste à la volonté et rien ne résiste à la Techouva.
Je suis certain qu’il est inutile de préciser tout ce qui vient d’être dit. J’ajouterai uniquement un point, bien que vous le sachiez sûrement. Il s’agit de l’accent mis par la ‘Hassidout du Baal Chem Tov et de nos saints maîtres de ‘Habad sur l’Injonction : “ Servez D.ieu dans la joie ”, pour tout ce qui concerne l’homme. Quand on est joyeux de constater que D.ieu donne la possibilité de Le servir, on peut observer la réussite dans tous les domaines, matériels et spirituels.
J’attends de vos bonnes nouvelles en tout ce qui vient d’être dit et, à l’approche de Chavouot, je formule le vœu, qu’au sein de tout Israël, vous receviez la Torah, selon la formulation et la bénédiction de mon beau-père, le Rabbi, avec joie et de manière profonde.
Avec ma bénédiction pour votre guérison,
25 Iyar 5717,
Brooklyn,
A monsieur Yossef Alter, qui est appelé docteur Tumarkin,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, élève de la Yechiva Tom’heï Temimim, ‘Hano’h Hendel Libermann et également par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, se consacre aux besoins communautaires, aux multiples accomplissements, le Rav Avraham Dov Kremer. Ceux-ci m’ont également fait part de votre état de santé.
En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une meilleure santé. Bien plus, vous avez eu le mérite d’être un élève de la Yechiva Tom’heï Temimim. Or, rien ne se perd, matériellement et, a fortiori, spirituellement, d’autant que nos saints maîtres, dont le mérite nous protégera, ont investi tant de forces dans cette Yechiva.
Il est donc une certitude qu’encore à l’heure actuelle, ils invoquent la profonde miséricorde divine, pour chacun de ses élèves, en tous leurs besoins, en particulier pour leur santé physique et morale. On connaît l’affirmation de nos saints maîtres établissant une relation entre les deux cent quarante huit membres de l’homme et les deux cent quarante huit Injonctions, d’une part, les trois cent soixante cinq nerfs et les trois cent soixante cinq Interdits, d’autre part. Vous êtes vous-même médecin et il est donc sûrement inutile de vous souligner que, si un membre du corps n’est pas comme il doit l’être, il ne faut pas se désespérer de le guérir. Combien plus en est-il ainsi, en spirituel.
Il faut ajouter, comme le précise l’Admour Hazaken, qu’il existe des déficiences de santé physique que l’on ne sait pas traiter. En revanche, il n’en est pas de même spirituellement. Moralement, il n’est rien qui ne puisse être guéri. Bien plus, le traitement peut même conduire à une situation similaire à celle que l’on aurait eu si l’affection ne s’était jamais manifestée. Or, rien ne résiste à la volonté et rien ne résiste à la Techouva.
Je suis certain qu’il est inutile de préciser tout ce qui vient d’être dit. J’ajouterai uniquement un point, bien que vous le sachiez sûrement. Il s’agit de l’accent mis par la ‘Hassidout du Baal Chem Tov et de nos saints maîtres de ‘Habad sur l’Injonction : “ Servez D.ieu dans la joie ”, pour tout ce qui concerne l’homme. Quand on est joyeux de constater que D.ieu donne la possibilité de Le servir, on peut observer la réussite dans tous les domaines, matériels et spirituels.
J’attends de vos bonnes nouvelles en tout ce qui vient d’être dit et, à l’approche de Chavouot, je formule le vœu, qu’au sein de tout Israël, vous receviez la Torah, selon la formulation et la bénédiction de mon beau-père, le Rabbi, avec joie et de manière profonde.
Avec ma bénédiction pour votre guérison,