Lettre n° 5469
Par la grâce de D.ieu,
21 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 7 Iyar.
Je suis surpris que vous ne disiez rien du traitement que le médecin vous a prescrit. En effet, ces dernières années et ces derniers mois, plusieurs nouveaux médicaments ont été introduits, en la matière, en particulier l’ortisone et la cortisone. Mais, peut-être avez-vous simplement omis de le préciser. Si ce n’est pas le cas, il serait bon de le consulter, à ce sujet.
Vous m’indiquez la raison pour laquelle vous ne participez pas aux cours et il semble que, pour la même raison, vous ne preniez pas non plus part aux actions des femmes et jeunes filles ‘Habad. Or, ces actions ont un effet favorable pour la satisfaction des besoins qu’une personne peut éprouver, de même que ceux des membres de sa famille. Il n’y a donc pas lieu de les repousser à plus tard, car ces besoins se manifestent à l’heure actuelle.
S’agissant de toutes les actions positives, il faut retenir les propos de la Michna selon lesquels “ celui qui met en pratique la Torah dans la pauvreté ”, au sens littéral ou, plus généralement, dans des conditions difficiles, “ l’accomplira, au final, dans la richesse ”. Que D.ieu vous accorde la réussite pour donner de bonnes nouvelles.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
21 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 7 Iyar.
Je suis surpris que vous ne disiez rien du traitement que le médecin vous a prescrit. En effet, ces dernières années et ces derniers mois, plusieurs nouveaux médicaments ont été introduits, en la matière, en particulier l’ortisone et la cortisone. Mais, peut-être avez-vous simplement omis de le préciser. Si ce n’est pas le cas, il serait bon de le consulter, à ce sujet.
Vous m’indiquez la raison pour laquelle vous ne participez pas aux cours et il semble que, pour la même raison, vous ne preniez pas non plus part aux actions des femmes et jeunes filles ‘Habad. Or, ces actions ont un effet favorable pour la satisfaction des besoins qu’une personne peut éprouver, de même que ceux des membres de sa famille. Il n’y a donc pas lieu de les repousser à plus tard, car ces besoins se manifestent à l’heure actuelle.
S’agissant de toutes les actions positives, il faut retenir les propos de la Michna selon lesquels “ celui qui met en pratique la Torah dans la pauvreté ”, au sens littéral ou, plus généralement, dans des conditions difficiles, “ l’accomplira, au final, dans la richesse ”. Que D.ieu vous accorde la réussite pour donner de bonnes nouvelles.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,