Lettre n° 5467
Par la grâce de D.ieu,
21 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat Parchat Emor, dans laquelle vous me faites part de ce qui vous est arrivé. Je suis un peu surpris et également peiné que vous ayez souffert non seulement physiquement, mais aussi moralement, que vous ayez été déconcerté. En effet, la souffrance physique peut se concevoir, car nous nous trouvons en exil, comme l’explique le Kountrass Ou Mayan, du Rabbi Rachab, au discours 17. A l’opposé, la souffrance morale et l’effort ne sont nullement justifiés. Ils sont, en outre, inutiles et causent même du tort.
Vous connaissez l’image qui est énoncée, à ce sujet. Celui qui porte des vêtements plus longs que son corps n’en tirera pas le moyen de courir plus vite, bien au contraire. Vous consulterez également le Torah Or, de l’Admour Hazaken, au début de la Parchat Noa’h et le Séfer Ha Mitsvot, que l’on appelle également le Dére’h Mitsvoté’ha, du Tséma’h Tsédek, à la Mitsva de la tonsure du lépreux. Et, vous connaissez le sens du verset : “ Si tu manges par la fatigue de tes mains, tu seras heureux et tu connaîtras le bien ”, soulignant que cet effort ne doit pas être celui de la tête et du cerveau. Certes, il n’est pas aisé de ne pas être troublé, dans sa réflexion et dans sa pensée, par les problèmes physiques dans lesquels cette pensée doit s’investir. Toutefois, “ l’homme est né pour l’effort ”. C’est une évidence.
Vous me demandez s’il est permis d’expliquer aux femmes les passages de la Torah de D.ieu qui leur permettront de supporter plus aisément les vicissitudes de la période.
Je suis surpris que vous puissiez avoir un doute à ce sujet, en particulier à notre époque, celle du talon du Machia’h, la dernière de l’exil. Nous devons nous préparer à la situation et aux conditions qui se réaliseront, au début de la délivrance, puis lors de la délivrance proprement dite. Nos Sages soulignent que cette délivrance future sera semblable à la sortie d’Egypte, qui fut obtenue par le mérite des femmes vertueuses de la génération.
Bien plus, les femmes ont toujours eu l’obligation de posséder ces connaissances. C’est pour cela qu’elles étaient auparavant présentes quand un érudit tenait un discours de Torah, y compris à l’époque des Sages de la Michna. Tout ceci est mentionné, pour la Hala’ha, dans les lois de l’étude de la Torah de l’Admour Hazaken, à la fin du chapitre 1, que vous consulterez. En effet, ceci fait partie des Hala’hot qu’elles doivent connaître et l’on peut vérifier concrètement que, si elles ne comprennent pas ce qu’est la divine Providence, la finalité de la création de l’homme, ce qui est pour lui le bien véritable, elles auront beaucoup de difficulté à résister aux épreuves de cette époque.
Vous m’interrogez sur une étude qui concernerait un fiancé plus que tout autre. Vous interrogerez, à ce sujet, les ‘Hassidim âgés qui se trouvent près de chez vous. Ils vous guideront.
J’espère que, de temps à autre, vous renforcez le temps que vous consacrez à l’étude de la ‘Hassidout, l’application de ses usages et de ses coutumes, de la meilleure façon. En effet, chacun d’entre nous a le devoir de connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté.
Avec ma bénédiction, selon les termes de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah avec joie et de manière profonde,
21 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat Parchat Emor, dans laquelle vous me faites part de ce qui vous est arrivé. Je suis un peu surpris et également peiné que vous ayez souffert non seulement physiquement, mais aussi moralement, que vous ayez été déconcerté. En effet, la souffrance physique peut se concevoir, car nous nous trouvons en exil, comme l’explique le Kountrass Ou Mayan, du Rabbi Rachab, au discours 17. A l’opposé, la souffrance morale et l’effort ne sont nullement justifiés. Ils sont, en outre, inutiles et causent même du tort.
Vous connaissez l’image qui est énoncée, à ce sujet. Celui qui porte des vêtements plus longs que son corps n’en tirera pas le moyen de courir plus vite, bien au contraire. Vous consulterez également le Torah Or, de l’Admour Hazaken, au début de la Parchat Noa’h et le Séfer Ha Mitsvot, que l’on appelle également le Dére’h Mitsvoté’ha, du Tséma’h Tsédek, à la Mitsva de la tonsure du lépreux. Et, vous connaissez le sens du verset : “ Si tu manges par la fatigue de tes mains, tu seras heureux et tu connaîtras le bien ”, soulignant que cet effort ne doit pas être celui de la tête et du cerveau. Certes, il n’est pas aisé de ne pas être troublé, dans sa réflexion et dans sa pensée, par les problèmes physiques dans lesquels cette pensée doit s’investir. Toutefois, “ l’homme est né pour l’effort ”. C’est une évidence.
Vous me demandez s’il est permis d’expliquer aux femmes les passages de la Torah de D.ieu qui leur permettront de supporter plus aisément les vicissitudes de la période.
Je suis surpris que vous puissiez avoir un doute à ce sujet, en particulier à notre époque, celle du talon du Machia’h, la dernière de l’exil. Nous devons nous préparer à la situation et aux conditions qui se réaliseront, au début de la délivrance, puis lors de la délivrance proprement dite. Nos Sages soulignent que cette délivrance future sera semblable à la sortie d’Egypte, qui fut obtenue par le mérite des femmes vertueuses de la génération.
Bien plus, les femmes ont toujours eu l’obligation de posséder ces connaissances. C’est pour cela qu’elles étaient auparavant présentes quand un érudit tenait un discours de Torah, y compris à l’époque des Sages de la Michna. Tout ceci est mentionné, pour la Hala’ha, dans les lois de l’étude de la Torah de l’Admour Hazaken, à la fin du chapitre 1, que vous consulterez. En effet, ceci fait partie des Hala’hot qu’elles doivent connaître et l’on peut vérifier concrètement que, si elles ne comprennent pas ce qu’est la divine Providence, la finalité de la création de l’homme, ce qui est pour lui le bien véritable, elles auront beaucoup de difficulté à résister aux épreuves de cette époque.
Vous m’interrogez sur une étude qui concernerait un fiancé plus que tout autre. Vous interrogerez, à ce sujet, les ‘Hassidim âgés qui se trouvent près de chez vous. Ils vous guideront.
J’espère que, de temps à autre, vous renforcez le temps que vous consacrez à l’étude de la ‘Hassidout, l’application de ses usages et de ses coutumes, de la meilleure façon. En effet, chacun d’entre nous a le devoir de connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté.
Avec ma bénédiction, selon les termes de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah avec joie et de manière profonde,