Lettre n° 5455
Par la grâce de D.ieu,
16 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Iyar, dans laquelle, de nouveau, je n’ai pas trouvé la raison pour laquelle vous n’avez pas écrit jusqu’à maintenant. Et, comme je l’ai déjà dit, mon propos n’est pas de me plaindre du passé, mais bien que cela soit rectifié, à l’avenir. De même, il ne s’agit pas simplement qu’en tel endroit(1), on sache ce qui a été accompli. En fait, comme la pratique permet de l’établir, quand on sait que, de temps à autre, on doit rendre des comptes sur les actions qui ont été réalisées, on mobilise plus d’empressement et de forces, de forces révélées et même de forces cachées, afin de multiplier les actions, quantitativement et qualitativement. Puisse D.ieu faire que ces propos soient suivis d’effet, pour vous-même et, par votre intermédiaire, pour tous ceux qu’ils concernent et sur lesquels vous avez la possibilité d’exercer une influence.
Sans doute profiterez-vous du jour de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, le point central(2) étant la diffusion des sources(3) à l’extérieur. Vous ferez également les préparatifs nécessaires pour utiliser le temps du don de notre Torah, qui approche. Que D.ieu vous accorde la réussite de donner de bonnes nouvelles de cela et de tout ce qui a été dit auparavant.
Avec ma bénédiction de réussite en ce qui vient d’être dit et en vous remerciant beaucoup pour votre précieux cadeau, le manuscrit du Rabbi(4),
M. Schneerson,
L’expédition de la présente a pris du retard. Entre temps, j’ai reçu le compte-rendu des jeunes de l’association ‘Habad, relatif au voyage de Miron(5). Je suis surpris de ne pas voir apparaître votre nom, parmi ceux des organisateurs.
Notes
(1) Chez le Rabbi.
(2) De ce qui doit être réalisé en ce jour.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Rachab, père du précédent Rabbi.
(5) Le jour de Lag Baomer.
16 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Iyar, dans laquelle, de nouveau, je n’ai pas trouvé la raison pour laquelle vous n’avez pas écrit jusqu’à maintenant. Et, comme je l’ai déjà dit, mon propos n’est pas de me plaindre du passé, mais bien que cela soit rectifié, à l’avenir. De même, il ne s’agit pas simplement qu’en tel endroit(1), on sache ce qui a été accompli. En fait, comme la pratique permet de l’établir, quand on sait que, de temps à autre, on doit rendre des comptes sur les actions qui ont été réalisées, on mobilise plus d’empressement et de forces, de forces révélées et même de forces cachées, afin de multiplier les actions, quantitativement et qualitativement. Puisse D.ieu faire que ces propos soient suivis d’effet, pour vous-même et, par votre intermédiaire, pour tous ceux qu’ils concernent et sur lesquels vous avez la possibilité d’exercer une influence.
Sans doute profiterez-vous du jour de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, le point central(2) étant la diffusion des sources(3) à l’extérieur. Vous ferez également les préparatifs nécessaires pour utiliser le temps du don de notre Torah, qui approche. Que D.ieu vous accorde la réussite de donner de bonnes nouvelles de cela et de tout ce qui a été dit auparavant.
Avec ma bénédiction de réussite en ce qui vient d’être dit et en vous remerciant beaucoup pour votre précieux cadeau, le manuscrit du Rabbi(4),
M. Schneerson,
L’expédition de la présente a pris du retard. Entre temps, j’ai reçu le compte-rendu des jeunes de l’association ‘Habad, relatif au voyage de Miron(5). Je suis surpris de ne pas voir apparaître votre nom, parmi ceux des organisateurs.
Notes
(1) Chez le Rabbi.
(2) De ce qui doit être réalisé en ce jour.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Rachab, père du précédent Rabbi.
(5) Le jour de Lag Baomer.