Lettre n° 5445
Par la grâce de D.ieu,
13 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce jeudi, avec ce qui y était joint, la liste du tirage au sort. Je suis surpris que vous n’accusiez pas réception du courrier dans lequel j’exprimais ma surprise du fait que vous ne vous soyez pas rendu dans la ville sainte de Jérusalem, afin d’y transmettre les salutations d’ici(1). Certes, d’autres l’on fait, mais, comme vous le savez, nos Sages disent que l’on n’apprend pas une leçon de chacun.
Combien plus en est-il ainsi quand il s’agit de transmettre des salutations. Chacun le fait selon ce qu’il a ressenti et tous n’ont pas la même personnalité. Et, même s’il n’y a aucun manque, pour les auditeurs, dans ce qui a été transmis par les autres, il est clair qu’il y en aura bien un, en revanche, pour celui qui devait tenir ces propos. De fait, qui est plus grand pour nous que nos maîtres ? Or, on sait la bénédiction que le Rabbi Rachab demandait, avant de commenter la ‘Hassidout(2) : “ Puisse ceci exercer son effet sur moi-même et sur ceux qui l’entendront ”.
Il est sans doute inutile de souligner à ceux qui se trouvent en Terre Sainte la nécessité de profiter du jour lumineux de Lag Baomer, qui approche. Malgré cela, je vous le rappelle et puisse D.ieu faire, selon le dicton établi, que cela soit uniquement pour appuyer.
Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela, en bonne santé,
Notes
(1) Comme le Rabbi l’avait demandé au destinataire de cette lettre, lorsqu’il lui avait rendu visite.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4892.
13 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce jeudi, avec ce qui y était joint, la liste du tirage au sort. Je suis surpris que vous n’accusiez pas réception du courrier dans lequel j’exprimais ma surprise du fait que vous ne vous soyez pas rendu dans la ville sainte de Jérusalem, afin d’y transmettre les salutations d’ici(1). Certes, d’autres l’on fait, mais, comme vous le savez, nos Sages disent que l’on n’apprend pas une leçon de chacun.
Combien plus en est-il ainsi quand il s’agit de transmettre des salutations. Chacun le fait selon ce qu’il a ressenti et tous n’ont pas la même personnalité. Et, même s’il n’y a aucun manque, pour les auditeurs, dans ce qui a été transmis par les autres, il est clair qu’il y en aura bien un, en revanche, pour celui qui devait tenir ces propos. De fait, qui est plus grand pour nous que nos maîtres ? Or, on sait la bénédiction que le Rabbi Rachab demandait, avant de commenter la ‘Hassidout(2) : “ Puisse ceci exercer son effet sur moi-même et sur ceux qui l’entendront ”.
Il est sans doute inutile de souligner à ceux qui se trouvent en Terre Sainte la nécessité de profiter du jour lumineux de Lag Baomer, qui approche. Malgré cela, je vous le rappelle et puisse D.ieu faire, selon le dicton établi, que cela soit uniquement pour appuyer.
Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela, en bonne santé,
Notes
(1) Comme le Rabbi l’avait demandé au destinataire de cette lettre, lorsqu’il lui avait rendu visite.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4892.