Lettre n° 5430
Par la grâce de D.ieu,
6 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je te bénis et te salue,
Je fais réponse à ta lettre de Roch ‘Hodech Iyar, dans laquelle tu me décris le changement soudain qui est intervenu dans la relation que ton fiancé entretient avec toi, après que vous ayez eu l’occasion de vous rencontrer plusieurs fois et que vous l’ayez effectivement fait. Tu t’en demandes la raison.
Comme pour tout ce qui concerne les Juifs, la raison véritable doit être trouvée dans la Torah et dans la dimension profonde. En l’occurrence, le comportement adopté n’a pas dû être conforme aux enseignements de notre sainte Torah. Il s’agit, en l’occurrence, d’action concrète et il faut donc décrire la situation telle qu’elle est, afin que l’on sache ce qu’il convient de réparer. Ce comportement devait contrevenir aux principes de la Torah et heurter les règles de la pudeur.
Il est trop difficile d’écrire de telles choses, d’autant qu’il faut accorder à chacun les circonstances atténuantes, mais, comme je l’ai dit, ce qui en résulte est particulièrement important. Il n’est donc pas envisageable de ne pas décrire la situation telle qu’elle est. Et, l’on peut l’établir encore plus clairement en observant ce qui a résulté de tout cela. D’une proximité interdite a découlé un éloignement.
Comme je l’ai dit, je n’écris pas tout cela pour imposer une souffrance, ce qu’à D.ieu ne plaise, ni pour embarrasser qui que ce soit, mais bien pour réparer la situation, pour la rendre positive, c’est-à-dire pour permettre la Techouva, qui transforme tout, dès lors qu’elle est sincère et intègre. Il est dit, en effet, que “ D.ieu sonde le cœur ”. S’Il observe un regret sincère du passé et un engagement convenable pour l’avenir, Il accorde la réussite dans tous les domaines.
Après avoir pris une ferme résolution, pour tout ce qui vient d’être dit, il faut rechercher, de manière indirecte, s’il n’y a pas eu également une cause extérieure, à l’origine de cette situation et voir ce que l’on peut faire, à ce sujet. Mais, peut-être tout cela ne sera-t-il pas nécessaire.
D’après ce que tu écris, tu as été une élève du Beth Yaakov. Je présume donc qu’au lever, tu lis des bénédictions et des prières. Il serait bon, pendant les jours de semaine, de donner quelques cents à la Tsédaka avant de dire ces prières.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
6 Iyar 5717,
Brooklyn,
Je te bénis et te salue,
Je fais réponse à ta lettre de Roch ‘Hodech Iyar, dans laquelle tu me décris le changement soudain qui est intervenu dans la relation que ton fiancé entretient avec toi, après que vous ayez eu l’occasion de vous rencontrer plusieurs fois et que vous l’ayez effectivement fait. Tu t’en demandes la raison.
Comme pour tout ce qui concerne les Juifs, la raison véritable doit être trouvée dans la Torah et dans la dimension profonde. En l’occurrence, le comportement adopté n’a pas dû être conforme aux enseignements de notre sainte Torah. Il s’agit, en l’occurrence, d’action concrète et il faut donc décrire la situation telle qu’elle est, afin que l’on sache ce qu’il convient de réparer. Ce comportement devait contrevenir aux principes de la Torah et heurter les règles de la pudeur.
Il est trop difficile d’écrire de telles choses, d’autant qu’il faut accorder à chacun les circonstances atténuantes, mais, comme je l’ai dit, ce qui en résulte est particulièrement important. Il n’est donc pas envisageable de ne pas décrire la situation telle qu’elle est. Et, l’on peut l’établir encore plus clairement en observant ce qui a résulté de tout cela. D’une proximité interdite a découlé un éloignement.
Comme je l’ai dit, je n’écris pas tout cela pour imposer une souffrance, ce qu’à D.ieu ne plaise, ni pour embarrasser qui que ce soit, mais bien pour réparer la situation, pour la rendre positive, c’est-à-dire pour permettre la Techouva, qui transforme tout, dès lors qu’elle est sincère et intègre. Il est dit, en effet, que “ D.ieu sonde le cœur ”. S’Il observe un regret sincère du passé et un engagement convenable pour l’avenir, Il accorde la réussite dans tous les domaines.
Après avoir pris une ferme résolution, pour tout ce qui vient d’être dit, il faut rechercher, de manière indirecte, s’il n’y a pas eu également une cause extérieure, à l’origine de cette situation et voir ce que l’on peut faire, à ce sujet. Mais, peut-être tout cela ne sera-t-il pas nécessaire.
D’après ce que tu écris, tu as été une élève du Beth Yaakov. Je présume donc qu’au lever, tu lis des bénédictions et des prières. Il serait bon, pendant les jours de semaine, de donner quelques cents à la Tsédaka avant de dire ces prières.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,