Lettre n° 5428

Par la grâce de D.ieu,
6 Iyar 5717,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais référence à votre lettre de Roch ‘Hodech Iyar, avec ce qu’elle contenait.

Conformément à votre demande, le nom de cette femme, à laquelle D.ieu accordera longue vie, sera mentionné près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’elle se rétablisse rapidement et qu’elle ait un enfant.

Vous trouverez sûrement les mots qui conviennent pour lui expliquer, de même qu’à son mari, qu’il est indispensable, pour cela, de respecter les lois et les principes de la pureté familiale, d’après les enseignements de notre sainte Torah et de ses Mitsvot. Dans sa situation, en particulier, ceci aura la vertu de lui apporter ce dont elle a actuellement besoin.

Il est sûrement inutile de vous préciser quelles sont les explications que vous devez donner, en la matière. En effet, différents textes le précisent largement. Je voudrais, néanmoins, souligner un point, bien que celui-ci figure clairement dans un verset : “ L’homme est limité par la vision de ses yeux ”. Aussi, quand on éprouve un doute sur l’effet de ses propos, on ne peut établir ce qu’il en est vraiment, car D.ieu seul en a le pouvoir. En effet, Il “ sonde le cœur ”. De plus, nos Sages soulignent que, même si “ Je dors en exil ”, superficiellement ou profondément, “ mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et Ses Mitsvot ”.

Il suffit donc de trouver les mots qui conviennent, de les prononcer chaleureusement, de sorte qu’ils émanent du cœur. Ceci a été dit pour tous les Juifs. La plupart réagissent donc de cette façon et il faut présumer que c’est effectivement le cas.

Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,