Lettre n° 5418
Par la grâce de D.ieu,
2 Iyar 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux bons comportements, le Rav David Ha Lévi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je reçois des nouvelles de votre état de santé et j’espère qu’aujourd’hui, vous allez mieux qu’hier, que demain, vous irez mieux qu’aujourd’hui. En effet, le Saint béni soit-Il demande qu’il y ait une élévation, dans le domaine de la Sainteté. Or, le corps juif est saint. Vous connaissez également les propos de l’Admour Hazaken, dans son saint Tanya, au chapitre 49, selon lesquels l’expression : “ Tu nous as choisis d’entre toutes les nations et les langues ” porte précisément sur le corps physique.
Bien plus, nous sommes entre Pessa’h et Chavouot, temps propice pour la guérison du corps et sa santé, comme l’expliquent les livres(2).
Je vous adresse ma bénédiction pour un bon Chabbat et pour que, très bientôt, nous méritions l’accomplissement de la promesse, énoncée dans la Haftara de cette semaine : “ Et, les Cohanim et Léviim… ”, selon l’interprétation qu’en donne le Ari Zal selon laquelle, lors de la délivrance future, très bientôt et de nos jours, les Léviim(2) recevront les fonctions et l’élévation des Cohanim, alors que ces derniers deviendront Léviim. Ainsi, les Léviim seront Cohanim. Vous consulterez le Likouteï Torah du Ari Zal, sur Yé’hezkel et dans d’autres passages encore.
Avec ma bénédiction de guérison et pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav D. Shtockhammer, de Brooklyn. Voir, à son sujet, les lettres n°85 et 141.
(2) Soulignant que le nom d’Iyar est constitué des initiales des mots constituant la phrase : “ Je suis l’Eternel Qui te guérit ”.
(3) Le destinataire de cette lettre est un Lévi.
2 Iyar 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux bons comportements, le Rav David Ha Lévi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je reçois des nouvelles de votre état de santé et j’espère qu’aujourd’hui, vous allez mieux qu’hier, que demain, vous irez mieux qu’aujourd’hui. En effet, le Saint béni soit-Il demande qu’il y ait une élévation, dans le domaine de la Sainteté. Or, le corps juif est saint. Vous connaissez également les propos de l’Admour Hazaken, dans son saint Tanya, au chapitre 49, selon lesquels l’expression : “ Tu nous as choisis d’entre toutes les nations et les langues ” porte précisément sur le corps physique.
Bien plus, nous sommes entre Pessa’h et Chavouot, temps propice pour la guérison du corps et sa santé, comme l’expliquent les livres(2).
Je vous adresse ma bénédiction pour un bon Chabbat et pour que, très bientôt, nous méritions l’accomplissement de la promesse, énoncée dans la Haftara de cette semaine : “ Et, les Cohanim et Léviim… ”, selon l’interprétation qu’en donne le Ari Zal selon laquelle, lors de la délivrance future, très bientôt et de nos jours, les Léviim(2) recevront les fonctions et l’élévation des Cohanim, alors que ces derniers deviendront Léviim. Ainsi, les Léviim seront Cohanim. Vous consulterez le Likouteï Torah du Ari Zal, sur Yé’hezkel et dans d’autres passages encore.
Avec ma bénédiction de guérison et pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav D. Shtockhammer, de Brooklyn. Voir, à son sujet, les lettres n°85 et 141.
(2) Soulignant que le nom d’Iyar est constitué des initiales des mots constituant la phrase : “ Je suis l’Eternel Qui te guérit ”.
(3) Le destinataire de cette lettre est un Lévi.