Lettre n° 5400
Par la grâce de D.ieu,
27 Nissan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous évoquez les pensées qui vous troublent.
J’ai déjà maintes fois écrit, à plusieurs ‘Hassidim, ce qui est, par ailleurs, une évidence. Exagérer le trouble qui résulte des mauvaises pensées est un effet du mauvais penchant qui s’efforce, par tous les moyens, de troubler l’homme, dans son service de D.ieu joyeux et enthousiaste. En conséquence, plus vous ferez en sorte de ne pas exagérer tout cela, mieux encore, plus vous cesserez d’y penser, sans lutter contre ces mauvaises pensées, et plus la situation s’améliorera.
Néanmoins, la pensée de l’homme vagabonde en permanence, comme l’expliquent les discours ‘hassidiques de la fête de Pessa’h(1), qui vient de s’achever, justifiant ainsi que cette pensée soit qualifiée de “ fleuve ”. Pour la repousser, il faut donc se concentrer sur une autre pensée. Bien entendu, si celle-ci porte sur la Torah et les Mitsvot, un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité et combien plus peut le faire beaucoup de lumière.
Un moyen et une pratique favorable pour hâter cette suppression est l’étude de la Torah, sur texte, dans la pureté, de même que le don de la Tsédaka, avant la prière du matin, pendant les jours de semaine. Votre lettre dit que vous constatez une amélioration dans les autres domaines. Cela doit vouloir dire qu’il en est de même pour les mauvaises pensées. Néanmoins, “ l’autre côté ” cache cette amélioration.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Vous avez sûrement participé à la confection de la Matsa Chemoura(2) et, plus généralement aux actions des jeunes de l’association ‘Habad, dans la ville sainte de Jérusalem.
Notes
(1) Voir le Séfer Ha Maamarim 5717, à la page 154.
(2) Voir le Likouteï Dibbourim, tome 1, à partir de la page 123a.
27 Nissan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous évoquez les pensées qui vous troublent.
J’ai déjà maintes fois écrit, à plusieurs ‘Hassidim, ce qui est, par ailleurs, une évidence. Exagérer le trouble qui résulte des mauvaises pensées est un effet du mauvais penchant qui s’efforce, par tous les moyens, de troubler l’homme, dans son service de D.ieu joyeux et enthousiaste. En conséquence, plus vous ferez en sorte de ne pas exagérer tout cela, mieux encore, plus vous cesserez d’y penser, sans lutter contre ces mauvaises pensées, et plus la situation s’améliorera.
Néanmoins, la pensée de l’homme vagabonde en permanence, comme l’expliquent les discours ‘hassidiques de la fête de Pessa’h(1), qui vient de s’achever, justifiant ainsi que cette pensée soit qualifiée de “ fleuve ”. Pour la repousser, il faut donc se concentrer sur une autre pensée. Bien entendu, si celle-ci porte sur la Torah et les Mitsvot, un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité et combien plus peut le faire beaucoup de lumière.
Un moyen et une pratique favorable pour hâter cette suppression est l’étude de la Torah, sur texte, dans la pureté, de même que le don de la Tsédaka, avant la prière du matin, pendant les jours de semaine. Votre lettre dit que vous constatez une amélioration dans les autres domaines. Cela doit vouloir dire qu’il en est de même pour les mauvaises pensées. Néanmoins, “ l’autre côté ” cache cette amélioration.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Vous avez sûrement participé à la confection de la Matsa Chemoura(2) et, plus généralement aux actions des jeunes de l’association ‘Habad, dans la ville sainte de Jérusalem.
Notes
(1) Voir le Séfer Ha Maamarim 5717, à la page 154.
(2) Voir le Likouteï Dibbourim, tome 1, à partir de la page 123a.