Lettre n° 5384
Par la grâce de D.ieu,
20 Nissan 5717,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav et ‘Hassid,
issu d’une illustre famille, le Rav Barou’h Chimeon(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu, avec plaisir, votre lettre de la veille de Chabbat Ha Gadol, m’annonçant de bonnes nouvelles des examens passés par les élèves de l’école Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, à Man’ha. Vous avez constaté qu’ils connaissent la réussite dans leurs études et puisse D.ieu faire qu’ils soient aptes et dignes du nom de l’école, qu’ils aient un comportement conforme aux enseignements et à l’espoir de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, au sein de toutes les écoles Loubavitch, parmi les autres institutions basées sur les valeurs sacrées.
En effet, vous savez à quel point mon beau-père, le Rabbi, a investi ses forces morales et profondes dans de telles écoles, allant jusqu’au don de sa propre personne. Or, nos Sages disent d’un berger d’Israël : “ Tout comme il a, jusqu’à maintenant, effectué son service…(2) ”. A l’heure actuelle, il continue à invoquer la miséricorde divine pour ceux qui reçoivent leur éducation dans ces écoles, pour ceux qui les soutiennent, pour les enseignants, pour les guides spirituels, pour tous ceux qui leur viennent en aide, afin que tous obtiennent le succès matériel et spirituel.
En ces jours de la fête des Matsot, temps de notre liberté, nous obtiendrons une libération véritable de tout ce qui empêche de mettre en pratique la Torah et les Mitsvot, de tout ce qui fait entrave à un service de D.ieu joyeux et enthousiaste.
Avec mes respects et ma bénédiction en tout ce qui vient d’être dit,
[A cause de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre et je le fais donc à sa place.
Le secrétaire,]
Notes
(1) Le Rav B. C. Schneersohn, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°452.
(2) Il continue encore à le faire, là-haut.
20 Nissan 5717,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav et ‘Hassid,
issu d’une illustre famille, le Rav Barou’h Chimeon(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu, avec plaisir, votre lettre de la veille de Chabbat Ha Gadol, m’annonçant de bonnes nouvelles des examens passés par les élèves de l’école Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, à Man’ha. Vous avez constaté qu’ils connaissent la réussite dans leurs études et puisse D.ieu faire qu’ils soient aptes et dignes du nom de l’école, qu’ils aient un comportement conforme aux enseignements et à l’espoir de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, au sein de toutes les écoles Loubavitch, parmi les autres institutions basées sur les valeurs sacrées.
En effet, vous savez à quel point mon beau-père, le Rabbi, a investi ses forces morales et profondes dans de telles écoles, allant jusqu’au don de sa propre personne. Or, nos Sages disent d’un berger d’Israël : “ Tout comme il a, jusqu’à maintenant, effectué son service…(2) ”. A l’heure actuelle, il continue à invoquer la miséricorde divine pour ceux qui reçoivent leur éducation dans ces écoles, pour ceux qui les soutiennent, pour les enseignants, pour les guides spirituels, pour tous ceux qui leur viennent en aide, afin que tous obtiennent le succès matériel et spirituel.
En ces jours de la fête des Matsot, temps de notre liberté, nous obtiendrons une libération véritable de tout ce qui empêche de mettre en pratique la Torah et les Mitsvot, de tout ce qui fait entrave à un service de D.ieu joyeux et enthousiaste.
Avec mes respects et ma bénédiction en tout ce qui vient d’être dit,
[A cause de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre et je le fais donc à sa place.
Le secrétaire,]
Notes
(1) Le Rav B. C. Schneersohn, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°452.
(2) Il continue encore à le faire, là-haut.