Lettre n° 5376
Par la grâce de D.ieu,
17 Nissan 5717,
Brooklyn,
Au jeune Naftali Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 9 Nissan.
En un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Je suis surpris que vous ne m’indiquiez pas ce que vous faites pour renforcer le Judaïsme et pour diffuser les sources(2) à l’extérieur. En effet, c’est de cette façon que l’on obtient l’aide de D.ieu, en tous ses besoins, comme l’expliquent Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken et différents textes. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous multipliez de telles actions, conformément aux besoins du moment.
Vous faites référence à la lecture du Psaume La Menatséa’h Yeané’ha d’après la coutume ‘Habad(3). Celle-ci dépend du fait de réciter le Ta’hanoun, comme on peut le déduire du Sidour de l’Admour Hazaken.
Concernant votre seconde question(4), il est bien évident qu’un comportement ostentatoire, dans la plupart des cas, n’est pas souhaitable.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
[A cause de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre et je le fais donc à sa place.]
Notes
(1) Le Rav N. T. Gotlieb, de Jérusalem.
(2) De la ‘Hassidout.
(3) Avant Ou Va Le Tsion, quand on ne dit pas le Ta’hanoun pour une raison qui n’est pas retenue par la coutume ‘Habad. Voir, à ce sujet, la lettre n°5330.
(4) Quand on prie dans une synagogue où le Ta’hanoun n’est pas dit, à la date de la Hilloula d’un Juste, ce qui n’est pas la coutume ‘Habad, faut-il dire, néanmoins, le Ta’hanoun, ce qui peut être un comportement ostentatoire et susciter les discussions ou bien ne faut-il pas se séparer de la communauté et donc omettre le Ta’hanoun ?
17 Nissan 5717,
Brooklyn,
Au jeune Naftali Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 9 Nissan.
En un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Je suis surpris que vous ne m’indiquiez pas ce que vous faites pour renforcer le Judaïsme et pour diffuser les sources(2) à l’extérieur. En effet, c’est de cette façon que l’on obtient l’aide de D.ieu, en tous ses besoins, comme l’expliquent Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken et différents textes. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous multipliez de telles actions, conformément aux besoins du moment.
Vous faites référence à la lecture du Psaume La Menatséa’h Yeané’ha d’après la coutume ‘Habad(3). Celle-ci dépend du fait de réciter le Ta’hanoun, comme on peut le déduire du Sidour de l’Admour Hazaken.
Concernant votre seconde question(4), il est bien évident qu’un comportement ostentatoire, dans la plupart des cas, n’est pas souhaitable.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
[A cause de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre et je le fais donc à sa place.]
Notes
(1) Le Rav N. T. Gotlieb, de Jérusalem.
(2) De la ‘Hassidout.
(3) Avant Ou Va Le Tsion, quand on ne dit pas le Ta’hanoun pour une raison qui n’est pas retenue par la coutume ‘Habad. Voir, à ce sujet, la lettre n°5330.
(4) Quand on prie dans une synagogue où le Ta’hanoun n’est pas dit, à la date de la Hilloula d’un Juste, ce qui n’est pas la coutume ‘Habad, faut-il dire, néanmoins, le Ta’hanoun, ce qui peut être un comportement ostentatoire et susciter les discussions ou bien ne faut-il pas se séparer de la communauté et donc omettre le Ta’hanoun ?